Un petit écho à la série TGV. Sauf que là, c’est dans “L’intercité”. Ca va beaucoup moins vite. Ca s’arrête tout le temps. Il y a donc moins de flou filé. Par chance, ce jour là, il pleuvait. Ce jour-là, ce pouvait-être tous les jours, puisque c’était la Normandie. A défaut de vitesse la pluie pertubait la netteté.




9 Commentaires
  1. Les flaques, la boue, les pieds mouillés, le ciel qui pèse.Le paysage en desherence.Regarder les choses que personne ne regarde. Une photo qui me parle.

  2. “Regarder les choses que personne ne regarde”
    Tout à fait en accord avec vous Brigitte et bonnes continuations ferroviaires à Francis, le Rail est une toile plus ancienne mais tout aussi communicante…

  3. Le lieu-dit dit pas grand chose, et c’est bien ainsi. Belle image de triste rien. Entre les cités, des arbres morts et de la boue… heureusement que j’habite dans le Midi ! Ca me plait beaucoup !

  4. Sourire….Francis, à cette époque de l’année, il pleut aussi dans le midi!!!… Quant à la Normandie, j’en garde de merveilleux souvenirs!!!…
    Et j’aime beaucoup cette photo!!!…

  5. Quelle tristesse! C’est qu’elle est belle, mais bon, quand on habite le sud ça passe, mais pour moi, c’est une ambiance très familière… 😉

  6. Regarder les choses que personne ne regarde, mais que l’on voit quand même !
    Pour cette friche-là, pas trop de problème, mais pour d’autres en “déshérences” aussi, l’héritage sera collectif.
    Francis, merci d’en parler.
    Que ce beau tirage est moche ! 😉

  7. C’est triste.
    Il manque peut-être un chien qui joue dans la boue ?..
    Mais bon, on ne va pas faire la fine bouche, comme dit hervé, regarder les choses que personne ne regarde…

  8. Moi, j’aime bien la tristesse endémique de la Normandie. Elle fait partie de sa beauté. Puis un jour la beauté se débarrassera de la tristesse et on appellera ça l’allégresse, l’été. Ce qui m’a semblé le plus incongru, c’est que quelqu’un ait pensé à planter un panneau indicateur pour signaler ce lieu. Merci pour vos impressions.

  9. La campagne comme je l’imagine.

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *