Cadrer, c’est choisir le cadre et le hors cadre. Présenter une scène de vie en ne gardant que les éléments importants et en éliminant ceux qui désservent l’objectif (sans jeu de mot) : Fred nous propose ici une réponse brillante. Et je ne m’appesantis pas sur l’exploitation judicieuse de la diagonale et de la profondeur de champ. Bravo !
… en d’autres termes, porter l’attention tellement sur le cadrage qu’on en oublie la photo en elle-même. Là, on sent bien que la maitrise, l’oeil, l’expérience sont là, que le photographe sait qu’il peut prendre des risques en coupant de manière non conventionnelle les assiettes, le personnage, en évitant de le cadrer au centre, etc. Mais au final c’est artificiel, ça ne fonctionne pas, l’œil va et vient le long de cette diagonale soulignée par PiR, sans trouver de point d’accroche autre que cette zone d’espace négatif du parquet.
Enfin, ce n’est que mon avis et je comprends qu’on puisse être séduit — comme je l’ai été au premier regard, car les ingrédients sont bien là. Et je l’exprime de manière un peu brutale car qui aime bien châtie bien…
Bon, le béotien que je suis dira à Philippe qu’il est quand même assez dur dans son jugement à propos de cette photo qui se démarque beaucoup de tout ce qu’on voit par ailleurs sur ce blog. Je trouve qu’il y a ici beaucoup plus qu’une simple photo d’amateur. Je n’y connais pas grand chose, cependant je trouve que cette photo se distingue des autres. j’ai le même sentiment avec certaines photos de Luis par exemple. Comparées à l’ensemble de nos productions exposées ici je trouve que celle ci est à part. Mais c’est vrai que je n’ai janmais réussi non plus à me regarder pédaler en étant au préalable descendu de mon vélo, du moins sans me casser le Gueule…!!! – Qui aime bien chatie bien, c’est bien vrai, ne m’en veuillez donc pas Philippe !!!
Cadrer, c’est choisir le cadre et le hors cadre. Présenter une scène de vie en ne gardant que les éléments importants et en éliminant ceux qui désservent l’objectif (sans jeu de mot) : Fred nous propose ici une réponse brillante. Et je ne m’appesantis pas sur l’exploitation judicieuse de la diagonale et de la profondeur de champ. Bravo !
Pardon, je voulais dire Freddy et pas Fred.
Peut-être un poil trop “regardez comme c’est cadré super”… Le syndrome du photographe qui se regarde photographier ?
Séduisant au premier regard, mais l’œil s’installe vite dans le vide du plancher.
Philippe…
“Le syndrome du photographe qui se regarde photographier”
Késako ?
C’est comme le cycliste qui descend de vélo pour se regarder pédaler 😉
… en d’autres termes, porter l’attention tellement sur le cadrage qu’on en oublie la photo en elle-même. Là, on sent bien que la maitrise, l’oeil, l’expérience sont là, que le photographe sait qu’il peut prendre des risques en coupant de manière non conventionnelle les assiettes, le personnage, en évitant de le cadrer au centre, etc. Mais au final c’est artificiel, ça ne fonctionne pas, l’œil va et vient le long de cette diagonale soulignée par PiR, sans trouver de point d’accroche autre que cette zone d’espace négatif du parquet.
Enfin, ce n’est que mon avis et je comprends qu’on puisse être séduit — comme je l’ai été au premier regard, car les ingrédients sont bien là. Et je l’exprime de manière un peu brutale car qui aime bien châtie bien…
Bon, le béotien que je suis dira à Philippe qu’il est quand même assez dur dans son jugement à propos de cette photo qui se démarque beaucoup de tout ce qu’on voit par ailleurs sur ce blog. Je trouve qu’il y a ici beaucoup plus qu’une simple photo d’amateur. Je n’y connais pas grand chose, cependant je trouve que cette photo se distingue des autres. j’ai le même sentiment avec certaines photos de Luis par exemple. Comparées à l’ensemble de nos productions exposées ici je trouve que celle ci est à part. Mais c’est vrai que je n’ai janmais réussi non plus à me regarder pédaler en étant au préalable descendu de mon vélo, du moins sans me casser le Gueule…!!! – Qui aime bien chatie bien, c’est bien vrai, ne m’en veuillez donc pas Philippe !!!