Une vie moins trépidante, de toute évidence. « Let the Good Times Roll » (Luis Jordan), même pour les bernaches, protégées par le code de la route rappelant fermement que les animaux sauvages sont ici chez eux et qu’il est interdit de les perturber sauf si la sécurité est en jeu. Mais qui voudrait les perturber ici ?
Du coté de St Saturnin-de-Lemmes si je ne trompe pas, je n’ai pas vu les canards mais j’ai vu un panneau qui évoquait fort bien cette situation … On est au fin fond de l’Aveyron avec des paysages champêtres comme on en trouve dans ces vieilles montagnes. Lenteur et douceur et amour de la vie. Voilà aussi un beau programme pour 2025 !
@Estienne : exactement cela!
Meilleurs voeux de lenteur à tous.tes!
Une belle image apaisante pour bien commencer l’année. Merci Jean.
C’est ce que j’ai préféré lors du premier confinement.. Le retour à la vie, le retour à la nature. L’oubli des bruits parasitaires de l’homme.
Ce n’est pas la biche qui traverse la route, mais la route qui traverse la forêt. Remettre les choses à leurs places et vivre à la vitesse de la nature…
Ces volatiles semblent avoir bien intégré certaines données de notre « civilisation ». Peu de choses semblent les distinguer d’une famille d’humains ordinaires. Les Beatles traversant la rue semblaient , en fait, bien plus étranges.
PS Tout comme Anna, j’ai pensé à la période du confinement. Chez moi, on voyait des canards se promener dans les rues de la ville, comme des badauds.
Et chez moi les chevreuils émerveillaient la fenêtre du matin.
J’aime bien la formule d’Anna : ce ne sont pas les biches qui traversent la route, c’est la route qui traverse la forêt.