« Il s'agit de trouver quelque chose d'intéressant dans un endroit ordinaire... Cela n'a pas grand-chose à voir avec les choses que vous voyez, mais cela a tout à voir avec la façon dont vous les voyez. »
Elliott ERWITT
8 Commentaires
M.RVR
sur 21 juillet 2024 à 18h01
Je me souviens de « Le Manitoba ne répond plus » d’Hergé. Ici aussi une atmosphère d’apocalypse ?
Pas apocalyptique, mais plutôt un sentiment d’abandon et d’isolement au milieu de ces plaines immenses. Presque angoissant. Pas étonnant que ces gens soient si solidaires entre eux, c’est une question de survie, surtout en hiver.
Pascal
sur 22 juillet 2024 à 10h04
Cette image rejoins celles déjà montrées d’un changement d’époque, comme chez nous, comme partout, la disparition des « petits ».
Emouvant.
M.RVR
sur 22 juillet 2024 à 15h31
Le titre est très fort qui lie le lointain à la fois dans l’espace et dans le temps.
Estienne
sur 22 juillet 2024 à 18h02
Le pompiste ne sert plus, la pompe non plus. Là-bas comme ici, un beau résumé de la désertification de ces espaces immenses et immensément vides.
Merci pour vos comm !
@M.RVR : et d’ailleurs les canadiens n’expriment les distances ni en km ni en miles mais en temps nécessaire pour effectuer le parcours.
lespans
sur 6 août 2024 à 12h45
Belle image d’un lieu qui a du voir passer de nombreuses voitures et les histoires qui s’y raccrochent (départ en vacances, enfants qui braillent sur la banquette arrière, jeunes amoureux en départ pour découvrir la vie …)
Matoufilou
sur 22 août 2024 à 11h37
Demain le vide.
Le paradoxe, c’est qu’ici c’est vide alors qu’ailleurs c’est trop plein.
L’ethnographie te va bien, Jean, se prête bien à ta façon de faire.
Je me souviens de « Le Manitoba ne répond plus » d’Hergé. Ici aussi une atmosphère d’apocalypse ?
Pas apocalyptique, mais plutôt un sentiment d’abandon et d’isolement au milieu de ces plaines immenses. Presque angoissant. Pas étonnant que ces gens soient si solidaires entre eux, c’est une question de survie, surtout en hiver.
Cette image rejoins celles déjà montrées d’un changement d’époque, comme chez nous, comme partout, la disparition des « petits ».
Emouvant.
Le titre est très fort qui lie le lointain à la fois dans l’espace et dans le temps.
Le pompiste ne sert plus, la pompe non plus. Là-bas comme ici, un beau résumé de la désertification de ces espaces immenses et immensément vides.
Merci pour vos comm !
@M.RVR : et d’ailleurs les canadiens n’expriment les distances ni en km ni en miles mais en temps nécessaire pour effectuer le parcours.
Belle image d’un lieu qui a du voir passer de nombreuses voitures et les histoires qui s’y raccrochent (départ en vacances, enfants qui braillent sur la banquette arrière, jeunes amoureux en départ pour découvrir la vie …)
Demain le vide.
Le paradoxe, c’est qu’ici c’est vide alors qu’ailleurs c’est trop plein.
L’ethnographie te va bien, Jean, se prête bien à ta façon de faire.