Pascal sur 30 mai 2024 à 11h06 Une belle dune avec de beaux gris, toute irrisée comme une mer, et il semble que ce Monsieur soit à la croisée des chemins… tout droit ?
Franville sur 30 mai 2024 à 11h44 Malgré le GPS, nous avions besoin de faire quelques repérages… Ce dernier n’indique pas toutes les embûches hypothétiques du désert. Franville
Lucien sur 30 mai 2024 à 13h39 Bonjour, elle mérite un très grand tirage. Une image simple véhiculant le sentiment d’immensité.
Estienne sur 31 mai 2024 à 9h59 Le désert est un endroit magique et hypnotique, les courbes sont sensuelles et ici encore, les caresses sont évidentes. Un peu plus de lumière sur le sable aurait été nécessaire mais on n’est pas en numérique …
Pascal sur 31 mai 2024 à 15h27 @Estienne : très juste Etienne, à la première vision me sont venus les mots d’une chanson de Bécaud, que j’apprécie pour plusieurs raisons : “…comme un ventre qu’on a jamais touché…”
M.RVR sur 1 juin 2024 à 13h17 Je ne suis pas gêné que l’on soit, pour une fois , du côté de l’ombre.
Matoufilou sur 1 juin 2024 à 20h50 Je rejoins Estienne et Pascal. L’idée d’une terre anthropomorphisée et érotisée s’impose ici, avec un cadrage horizontal qui la met en valeur.
Une belle dune avec de beaux gris, toute irrisée comme une mer, et il semble que ce Monsieur soit à la croisée des chemins… tout droit ?
Malgré le GPS, nous avions besoin de faire quelques repérages…
Ce dernier n’indique pas toutes les embûches hypothétiques du désert.
Franville
Bonjour,
elle mérite un très grand tirage. Une image simple véhiculant le sentiment d’immensité.
Le désert est un endroit magique et hypnotique, les courbes sont sensuelles et ici encore, les caresses sont évidentes. Un peu plus de lumière sur le sable aurait été nécessaire mais on n’est pas en numérique …
@Estienne : très juste Etienne, à la première vision me sont venus les mots d’une chanson de Bécaud, que j’apprécie pour plusieurs raisons : “…comme un ventre qu’on a jamais touché…”
Je ne suis pas gêné que l’on soit, pour une fois , du côté de l’ombre.
Je rejoins Estienne et Pascal. L’idée d’une terre anthropomorphisée et érotisée s’impose ici, avec un cadrage horizontal qui la met en valeur.
Je rejoins Matoufilou, Estienne et Pascal. Que dire d’autre…