franville sur 17 avril 2023 à 17h51 Un veilleur apaisé protège le repos des disparus, touchant. Une journée sans lumière … La Bergger 400 rechigne a se laisser bousculer, son grain éclate quelque peu. Les cimetières sont souvent une source d’inspiration; mais les photographes y sont mal vu, voire mal venu. Franville
Anonyme sur 17 avril 2023 à 18h16 Là , le veilleur me semble plutôt ne pas savoir trop quoi faire de son butin. MRVR
Estienne sur 18 avril 2023 à 9h53 Il fut un temps pas si éloigné que cela où les photos étaient interdites dans les cimetières. En dehors des terrains militaires ou stratégiques sensibles, je crois que c’était le seul lieu “bizarre” de ce point de vue. Celle-ci me laisse de marbre. Trop grise et un visage qui reste dans l’ombre. C’est l’inconvénient de l’argentique. Le numérique aujourd’hui laisse plus de latitude en matière de “corrections” de l’image. Mais je comprends quand même l’engouement dont bénéficie toujours le film et ses chimies en lumière rouge, cela me rappelle de bons souvenirs …
Matoufilou sur 21 avril 2023 à 21h44 Retouche des défauts, réglage de la netteté, léger vignetage, c’est vrai que le numérique ici aurait permis d’améliorer l’image. Par ailleurs, bien que l’ange soit aussi flou que le récent mien (et sans le livre pour faire le lien avec le regard du spectateur), il y a quelque chose cependant de touchant dans cette vue en légère contre-plongée.
Silvestre sur 23 avril 2023 Ã 17h32 “Vous avez l’avenir devant vous et chaque fois que vous vous retournez, vous l’aurez dans le dos.” Pierre Dac
Un veilleur apaisé protège le repos des disparus, touchant.
Une journée sans lumière … La Bergger 400 rechigne a se laisser bousculer, son grain éclate quelque peu.
Les cimetières sont souvent une source d’inspiration; mais les photographes y sont mal vu, voire mal venu.
Franville
Là , le veilleur me semble plutôt ne pas savoir trop quoi faire de son butin.
MRVR
Il fut un temps pas si éloigné que cela où les photos étaient interdites dans les cimetières. En dehors des terrains militaires ou stratégiques sensibles, je crois que c’était le seul lieu “bizarre” de ce point de vue.
Celle-ci me laisse de marbre. Trop grise et un visage qui reste dans l’ombre. C’est l’inconvénient de l’argentique. Le numérique aujourd’hui laisse plus de latitude en matière de “corrections” de l’image. Mais je comprends quand même l’engouement dont bénéficie toujours le film et ses chimies en lumière rouge, cela me rappelle de bons souvenirs …
Retouche des défauts, réglage de la netteté, léger vignetage, c’est vrai que le numérique ici aurait permis d’améliorer l’image.
Par ailleurs, bien que l’ange soit aussi flou que le récent mien (et sans le livre pour faire le lien avec le regard du spectateur), il y a quelque chose cependant de touchant dans cette vue en légère contre-plongée.
“Vous avez l’avenir devant vous et chaque fois que vous vous retournez, vous l’aurez dans le dos.” Pierre Dac