La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
6 Commentaires
M.RVR
sur 11 janvier 2023 à 11h47
On fait dans le diptyque symbolique Matou !
Je me lance: alimentation et énergie, deux domaines où notre autonomie est mise à mal.
Matoufilou
sur 11 janvier 2023 à 14h28
– «?Vous avez beau dire, y’a pas seulement que d’la pomme, y a aut’chose… Ça serait pas des fois de la betterave ??»
– «?Si, y’en a aussi?»
Estienne
sur 11 janvier 2023 à 17h56
Peut-être un peu plus de lumière sur celle de droite pour atténuer le contraste d’exposition et ne jouer que sur le contraste de sujet … une bonne idée, cette composition …
Matoufilou
sur 12 janvier 2023 à 10h19
Ma fenêtre la nuit, c’est l’infime et l’intime, le feu intérieur. Ma fenêtre le jour, c’est le large et le monde, et je subis davantage les flux qui passent. C’était l’idée suggérée.
On fait dans le diptyque symbolique Matou !
Je me lance: alimentation et énergie, deux domaines où notre autonomie est mise à mal.
– «?Vous avez beau dire, y’a pas seulement que d’la pomme, y a aut’chose… Ça serait pas des fois de la betterave ??»
– «?Si, y’en a aussi?»
Peut-être un peu plus de lumière sur celle de droite pour atténuer le contraste d’exposition et ne jouer que sur le contraste de sujet … une bonne idée, cette composition …
Ma fenêtre la nuit, c’est l’infime et l’intime, le feu intérieur. Ma fenêtre le jour, c’est le large et le monde, et je subis davantage les flux qui passent. C’était l’idée suggérée.
Le noir, le blanc et le gris aussi.
Oui, vive le gris. Merci RV, merci Estienne.
MTFL