… et vice versa. (Focus Stacking de 19 images)




Estienne

Apprenti en argentique avec ses labos rouges aux odeurs lourdes de leurs soupes chimiques avant d'évoluer vers le numérique et ses MégaOctets électroniques impalpables et inodores, depuis 50 ans mais toujours Photographe Amateur
8 Commentaires
  1. Ultime soubresaut .

  2. Ah « empilement de mises au point » comme on dit en français. Est ce que, vraiment, le jeu en vaut la chandelle ?

  3. Je n’aurais pas pensé à utiliser le Focus Stacking en macro. Mais cela me parait judicieux pour ce type de photographie à la profondeur de champ très et parfois trop réduite

  4. En macro avec un 105 mm ‘en plein format) et une ouverture à 5,6, la profondeur de champ est de l’ordre de 0,5mm. Ici, avec l’empilement, on doit être autour du centimètre et notamment les deux feuilles verticales arrivent à être complètement nettes ce qui est impossible sans cette technique … Donc oui, le jeu en vaut la chandelle !

  5. Le résultat est superbe. Bravo Estienne.

  6. Revoyant ce cliché, je le trouve tellement parfait que j’en viens à me demander s’il est bien réel. Conséquence du doute généré par la photo de Philippe Durand. N’est-ce pas une construction de laboratoire ?

  7. Non ! Il faut même 19 prises pour une seule image mais au lieu de faire un panoramique par exemple, j’ai compilé les nettetés des différents clichés. Mais c’est vrai que l’expérience de Philippe est impressionnante et on peut se demander où commence et où termine la “construction”. Mais une image au télé donne aussi une sensation d’irréel car on ne connait pas ce genre de compression dans la réalité. De même avec la macro qui est un monde qui ne nous est pas accessible habituellement …

  8. A l’heure de la grande confusion générale, cela confirme qu’on a de plus en plus besoin des philosophes. Le monde extérieur n’existe qu’à travers les expériences que nous en avons, disait en schématisant Max Planck. La réalité objective de l’objet, chère à Descartes, n’existe plus. Le monde extérieur s’impose plus que jamais, mais qu’impose-t-il ? Il devient plus que jamais le lieu de l’angoisse.

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