Nuit du 11 au 12 août, Interceltique de Lorient.
Il est tard dans la nuit. Les danseurs deviennent somnambules, mais les an-dro, plinn et autres fisel se succèdent sans relâche. On danse en fa dièse (au plus près du sol) et on fait corps (collectif) avec des inconnus.




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
11 Commentaires
  1. Je ne m’attendais pas à ce décor là. Du coup, j’aimerais bien voir d’autres photos de cette soirée celtique et populaire. Une série pour un reportage ?

  2. Je ne m’attendais pas à ce décor là, surtout en plein mois d’août.

  3. Tout reste prétexte à danser en Bretagne, et la danse se pratique partout, dès que possible, en toute occasion. Ici, c’est dans une salle de sport, un de ces soirs où il faisait si chaud, et il fallait vraiment en vouloir… On était trempé de sueur en 5′ et les petits courants d’air pratiqués via les portes du gymnase grandes ouvertes ne suffisaient pas. Est-ce l’effet de ces conditions extrêmes ou de la bière bue en abondance, mais je n’ai pas été très performant photographiquement cette nuit-là, et hélas ma série est très moyenne. Les effets de flouté ont leur intérêt mais c’est vite répétitif. Donc à voir pour la suite mais j’ai un doute.

  4. Voir un ou deux files ne me déplairait pas.
    MRVR

  5. OK, RV, dans ce cas je te les adresse en direct, je ne veux pas encombrer LVEG de vues moyennes. @++

  6. Par contre, pour que je tes envoie en direct, il faut que tu m’écrives sous ton nom et non en anonyme. Sinon mon envoi va arriver dans la BAL de Philippe…

  7. Rvrigo @wanadoo.fr

  8. Pour une image de danse ça fait bien immobile, mais en même, temps que c’est difficile.

  9. Je suis Camille, la photo, avant de lire le texte, m’a fait pensée à une queue “Covid”, sans les masques….

  10. Et si la vitesse était un peu plus lente, on gardait le décor et superposait un “vrai” mouvement …

  11. J’entends les arguments, et la queue Covid m’a fait rire (même si je n’ai pas le souvenir qu”on pouvait se tenir par les bras), mais pour rappel : 1° il était tard, il faisait chaud, la salle était peu lumineuse, 2°) j’étais bu et mes vues en témoignent, 3°) les danses bretonnes pour l’essentiel sont des danses de bras et de pied où le principe est de coller à son voisin et au sol. Le spectaculaire tient à cet effet transe collective, surtout sur les rondes ouvertes, qui sont de grands serpents, dont les méandres peuvent compter des milliers de personnes.
    J’ai tardé à faire paraître cette vue parce que j’étais le premier déçu du résultat, mais promis, à mon prochain fest-noz, je me concentre. Et peut-être vais-je faire plaisir à Hervé et à Estienne avec une seconde vue vitesse plus lente et vrai mouvement.

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