“Et quand il eut dépassé le pont, les fantômes vinrent à sa rencontre”
(Un intertitre de “Nosferatu” cité par Julien Gracq dans sa préface pour le “Nosferatu” de Bouvier et Leutrat)
M.RVR
sur 15 février 2022 à 9h43
Je note que la porte du cimetière semble grande ouverte.
Matoufilou
sur 15 février 2022 à 16h15
L’effet de brume (ou de poussière) avec les tombes rend vraiment bien et accentue ici ce côté dramatique intrinsèquement propre au lieu (et qui manque soit dit en passant à tellement de nos cimetières).
Anonyme
sur 15 février 2022 à 19h06
Quand la perspective photographique rejoint la perspective biologique.
MRVR
Jean Fraipont
sur 16 février 2022 à 0h00
On va aller se réchauffer au café d’en face. Mais peut-être en venaient-ils tous ?
Matoufilou
sur 16 février 2022 à 11h03
Oui en général le dialogue avec les morts commence au café d’en face.
Estienne
sur 16 février 2022 à 22h03
Beaucoup de suaires et de fantômes dans ce champ de mort. La brume se justifie encore plus dans ce lieu : très bien vu ! Mais l’image semble dégradée. Peut-être la réduction au format …
“Et quand il eut dépassé le pont, les fantômes vinrent à sa rencontre”
(Un intertitre de “Nosferatu” cité par Julien Gracq dans sa préface pour le “Nosferatu” de Bouvier et Leutrat)
Je note que la porte du cimetière semble grande ouverte.
L’effet de brume (ou de poussière) avec les tombes rend vraiment bien et accentue ici ce côté dramatique intrinsèquement propre au lieu (et qui manque soit dit en passant à tellement de nos cimetières).
Quand la perspective photographique rejoint la perspective biologique.
MRVR
On va aller se réchauffer au café d’en face. Mais peut-être en venaient-ils tous ?
Oui en général le dialogue avec les morts commence au café d’en face.
Beaucoup de suaires et de fantômes dans ce champ de mort. La brume se justifie encore plus dans ce lieu : très bien vu ! Mais l’image semble dégradée. Peut-être la réduction au format …