Au dĂ©bottĂ© le piaf. DĂ©solĂ© pour le lĂ©ger flou, mais il allait si vite. Cette mĂ©sange m’a tenu compagnie pendant tout le confinement. Son conjoint hĂ©las s’est fait croquer très tĂ´t. Le survivant n’a pas chĂ´mĂ©, je peux en tĂ©moigner. Et jamais je ne suis parvenu Ă  le saisir comme ici.




Matoufilou

De retour après une longue absence. C'est le propre de ma dĂ©jĂ  longue histoire avec LVEG. J'ai commentĂ©, abandonnĂ©, puis postĂ©, abandonné… C'est mon rapport Ă  la photo en fait qui n'est pas simple. Ce n'est qu'une toute petite partie de ma vie mais en moi comme une tĂ¢che aveugle.
3 Commentaires
  1. L’oiseau qui rendait visite Ă  l’homme en cage.
    MRVR

  2. Très vĂ©loces, très vives ces mĂ©sanges ! Donc sujet difficile et haute vitesse impĂ©rative pour avoir une chance de les stopper ! Je connais des personnes qui ont ce genre de problème !!! Mais c’est toujours une visite agrĂ©able …

  3. La difficultĂ© majeure Ă©tait surtout le vitre qui nous sĂ©parait… J’ai aussi photographiĂ© un hĂ©risson, un chevreuil, un crapaud, des salamandres, des abeilles, des scarabĂ©es, des lombrics, des scolopendres, des fleurs, mais c’est mon RV avec la mĂ©sange qui avait alors le plus d’importance. Elle a Ă©tĂ© pour moi le symbole de cette pĂ©riode de mars Ă  mai 2020. Deux ans plus tard, elle est toujours lĂ  et commence Ă  s’affairer de nouveau près de la capucine. J’attends qu’elle me prĂ©sente son compagnon 2022.

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.