M.RVR sur 2 octobre 2020 à 16h39 Ça me fait penser à Woody Allen et Diane Keaton dans Manhattan. Sauf que …
blagapart sur 3 octobre 2020 à 11h02 Et quel paysage ! La gestion de tels contrastes est toujours une gageure. J’aurais quand même aimé en voir un peu plus dans la partie en haut à droite, où il semble quand même y avoir un peu de détails. Sinon c’est une belle ambiance. Ça me rappelle une vieille photo (Cartier-Bresson ?) de deux bergers berbères marocains contemplant la plaine de Marrakech des hauteurs du mont Toubkal. Le calme qui résulte de la contemplation des lointains est intemporelle et indépendante de la géographie.
Anonyme sur 5 octobre 2020 à 10h57 Ces deux hirondelles – si bien cadrées – sur leur fil , en pleine germination , habitent bien et réveillent la vacuité du paysage , plongé dans une indétermination signifiante…
Jean Fraipont sur 6 octobre 2020 à 17h39 Merci pour vos commentaires, y compris pour l’anonyme. C’est un peu ça, “l’indétermination signifiante”, car lorsque je leur ai demandé si je pouvais photographier, ils se sont levés croyant que je voulais photographier le paysage. J’ai insisté pour qu’ils restent en place. Le paysage est donc bien secondaire ici, même si effectivement, j’aurais pu laisser un peu plus de détails sur le lointain.
Anonyme sur 7 octobre 2020 à 5h59 Tout est dit laisser un peu plus de détails sur le lointain faire comme ça est un choix, ce n’est pas celui que j’aurai fait, mais les conseillers ne sont pas payeurs.
Estienne sur 14 octobre 2020 à 13h02 Un contraste fort que le titre traduit bien mais j’aurai aussi aimé un peu plus de douceur pour l’arrière-plan …
M.RVR sur 14 octobre 2020 à 16h20 Le commentaire d’Estienne me fait penser à une autre interprétation: les 2 personnages sont installés aux premières loges pour assister à la disparition de tout un quartier qui forme précisément l’arrière plan. Apocalypse tranquille.
Ça me fait penser à Woody Allen et Diane Keaton dans Manhattan. Sauf que …
très joli travail
Et quel paysage ! La gestion de tels contrastes est toujours une gageure. J’aurais quand même aimé en voir un peu plus dans la partie en haut à droite, où il semble quand même y avoir un peu de détails.
Sinon c’est une belle ambiance. Ça me rappelle une vieille photo (Cartier-Bresson ?) de deux bergers berbères marocains contemplant la plaine de Marrakech des hauteurs du mont Toubkal. Le calme qui résulte de la contemplation des lointains est intemporelle et indépendante de la géographie.
Ces deux hirondelles – si bien cadrées – sur leur fil , en pleine germination , habitent bien et réveillent la vacuité du paysage , plongé dans une indétermination signifiante…
Merci pour vos commentaires, y compris pour l’anonyme.
C’est un peu ça, “l’indétermination signifiante”, car lorsque je leur ai demandé si je pouvais photographier, ils se sont levés croyant que je voulais photographier le paysage. J’ai insisté pour qu’ils restent en place. Le paysage est donc bien secondaire ici, même si effectivement, j’aurais pu laisser un peu plus de détails sur le lointain.
Tout est dit laisser un peu plus de détails sur le lointain faire comme ça est un choix, ce n’est pas celui que j’aurai fait, mais les conseillers ne sont pas payeurs.
Merci l’Anonyme 😉
La première anonyme est moi BD. La deuxième je ne sais…
Un contraste fort que le titre traduit bien mais j’aurai aussi aimé un peu plus de douceur pour l’arrière-plan …
Le commentaire d’Estienne me fait penser à une autre interprétation: les 2 personnages sont installés aux premières loges pour assister à la disparition de tout un quartier qui forme précisément l’arrière plan. Apocalypse tranquille.