Cette femme hiératique et dans cet environnement complexe m’a tout de suite fait penser à une toile de Frida Kahlo.
Etait-ce l’intention du photographe ? Je m’y perds un peu, d’autant plus que la légende inscrite dans l’image ferait plutôt penser à un collage.
Une illustation (?) bien mystérieuse avec ses “fausses pistes” et qui me plaît bien.
brigitte david
sur 17 août 2020 à 23h08
“Porite fourchu” … Un champignon? Une MST ?
Frifa Khalo avait de la moustache. Cette personne semble imberbe. Parfois, trop de mystère tue le mystère…
Un livre sur les zoophytes trouvé chez un bouquiniste est à l’origine de ce montage. Les gravures en sont irrésistibles. Le mystère est moins mystérieux si on voit la série, mais l’idée était l’interaction entre deux objets graphiques du 19ème siècle.
Merci à tous. Je vais lui rajouter de la moustache. Elle partage avec F. Khalo un air assez rébarbatif, mais je n’aurais jamais pensé à cette association.
J’ai tout de suite pensé à l’esprit des montages de Max Ernst qui puisait ses éléments dans des livres de vulgarisation ou des catalogues illustrés de gravures…
Un aquarium ?
Cette femme hiératique et dans cet environnement complexe m’a tout de suite fait penser à une toile de Frida Kahlo.
Etait-ce l’intention du photographe ? Je m’y perds un peu, d’autant plus que la légende inscrite dans l’image ferait plutôt penser à un collage.
Une illustation (?) bien mystérieuse avec ses “fausses pistes” et qui me plaît bien.
“Porite fourchu” … Un champignon? Une MST ?
Frifa Khalo avait de la moustache. Cette personne semble imberbe. Parfois, trop de mystère tue le mystère…
Frida…Evidemment!
Un livre sur les zoophytes trouvé chez un bouquiniste est à l’origine de ce montage. Les gravures en sont irrésistibles. Le mystère est moins mystérieux si on voit la série, mais l’idée était l’interaction entre deux objets graphiques du 19ème siècle.
Merci à tous. Je vais lui rajouter de la moustache. Elle partage avec F. Khalo un air assez rébarbatif, mais je n’aurais jamais pensé à cette association.
J’ai tout de suite pensé à l’esprit des montages de Max Ernst qui puisait ses éléments dans des livres de vulgarisation ou des catalogues illustrés de gravures…
Après la femme cent têtes, la femme qui fait la tête.