Cuba, vers Trinidad, oct. O8




8 Commentaires
  1. Il est sortie de l’arène et sauve qui peut.

  2. J’ai mis un peu de temps à le trouver, le taureau.
    Bonne photo, pour moi.
    Une question insolente : vous avez pris la photo en la voyant telle quelle (je veux dire : aviez vous conscience de photographier cette ombre, identifiable ?) ou est-ce un heureux hasard lors de la lecture de la photo ?

  3. A mon avis,le hasard aide bien parfois…
    Je trouve que c’est une très bonne pdv.

  4. La question n’est pas insolente, j’assume la part d’heureux hasard. On a tous de ces images qui prennent sens à la lecture.
    Pratiquement : assis à l’arrière d’une voiture, le champ de vision très réduite par rapport au déplacement du véhicule, d’autant plus par rapport à la voiture venant en sens opposé. Même un déclenchement spontané peut trouver du sens.

  5. J’adore,

    C’est vrai que très souvent on se demande si on avait vraiment bien tout vu de ce qui sera sur la photo.

    Je pense que quelqu’un qui fait fréquemment de belles photos inconsciemment … c’est que son inconscient est un sacré photographe !

    en tout cas, il faut aimer les images qui sont dans l’air et pour peu qu’on les chérisse rentré à la maison, on est toujours récompensé.

  6. Ma question ne visait pas au discrédit (très bonne photo et je ne conteste pas le droit de créer son ‘répertoire’ par le tri postérieur à la prise de vue), mais à recréditer mes propres coups de chance 😉

  7. @ Christian B : Je n’ai pas senti de discrédit dans te propos. C’est bien un avantage du numérique de pouvoir essayer, déclencher, chercher… Et puis j’aime bien varier les “façons” de faire.
    @ Arnaud B : Et même en maîtrisant tous les paramètres, le temps de la lecture fait apparaître des éléments qui nous ont échappés, des liens, des émotions, bref en photo (comme dans tous) il y a l’avant, le déclenchement et l’après, difficile de le réduire à l’instant.
    D’accord pour chérir et “aimer les images qui sont dans l’air” ! (jolie formulation)

  8. J’aime beaucoup et il faut conserver cette magie qui permet d’être surpris après.

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