Now is the winter of our discontent / … / And all the clouds that lour’d upon our house / In the deep bosom of the ocean buried.” (Shakespeare, Richard III).

Pour moi, c’est le contraire, l’hiver m’allège, m’ôte un poids. L’horizon se rétrécit, mais il m’augmente.




Matoufilou

La « déchirure » propre à la photo, c'est qu'elle ne fait exister son objet qu'en le faisant disparaître.
8 Commentaires
  1. Superbe bouquet d’hiver !

  2. Bravo! Ça donne presque une envie de grand froid.

  3. Vraiment très beau ! mystérieux , presque fantomatique .
    the winter is coming.

  4. Douceur de givre et de froid … mais que je trouve un peu engoncé dans ce costard trop étroit … bien sûr, il faut se tenir serré pour se tenir au chaud ! Mais quand même …

  5. @ Estienne : Je préfère les conversations intimes aux discours devant une foule. Ce bel arbre du matin n’avait pas besoin de plus d’interlocuteurs. C’est la qualité de la relation qui compte, non ?
    Merci à tous pour vos commentaires.

  6. J’aime beaucoup cet ancrage avec les pieds dans la terre.

  7. Mieux qu’un arbre ou un portrait d’arbre: un arbre rêvé, un arbre qui rêve. Et ici le cadrage me paraît tout à fait adapté. Beau travail.

  8. Un arbre qui rêve, c’est une jolie formule.
    Merci Jean, merci JLB.

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *