Tristan. sur 11 février 2018 à 18h35 J’aime beaucoup, mais j’ai du mal à croire à une vraie séance de confession… 🙂
Monsieur HR sur 11 février 2018 à 18h50 Cela aurait fait beau diptyque avec la publication précédente. Que nous réserve la 3ème ?
Jean Fraipont sur 11 février 2018 à 18h55 @Tristan : si si, en Italie, c’est encore fréquent. @ Brigitte : va savoir ! 😉 @Monsieur HR : je vais y penser ! 🙂 J’ai ajouté une autre version.
MFL sur 11 février 2018 à 20h24 J’aime beaucoup ! Il y a une auréole blanche…Rajout ou hasard ? La première version a ma préférence. Les noirs sont chouettes.
Estienne sur 11 février 2018 à 22h54 Aussi une préférence pour la première ! Très bien vu et très bien fait !
jb81 sur 12 février 2018 à 8h21 Je n’ai aucune référence en la matière…mais je préfère la première version par son côté trouble!
EK sur 12 février 2018 à 21h32 20 000 lieues sous les mers… en train ? J’aime de cliché mystérieux
andreroques sur 12 février 2018 à 23h05 Je préfère la première. Je ne savais pas qu’on fabriquait des confessionnaux avec éclairage tamisé intérieur. Bravo pour cette photo
JLB sur 13 février 2018 à 11h08 Même première impression que EK, un effet bathyscaphe en eaux troubles! J’ignorais que ce genre de dispositif existait encore de nos jours, modernisé par le voyant lumineux en plus! Il fallait oser faire la photo…(mais l’anonymat est préservé!). Le moins que l’on puisse dire c’est que tu explores des sujets inhabituels… et j’aime être surpris 🙂
Tristan. sur 13 février 2018 à 21h23 C’est la position du curé, bras nus, qui m’a fait empêcher d’y croire… 🙂
Jean Fraipont sur 13 février 2018 à 23h22 Merci pour vos commentaires et votre choix… éclairé! Dispositif d’un autre âge mais encore bien présent en Italie (entre autres). Dans ce confessionnal, une lampe à l’intérieur éclaire le mur, d’où l’auréole circulaire. @Tristan : pas les bras nus, mais les manches blanches d’un Père dominicain. 😉
J’aime beaucoup, mais j’ai du mal à croire à une vraie séance de confession… 🙂
Dialogue de f(l)ous…
Super!
Cela aurait fait beau diptyque avec la publication précédente. Que nous réserve la 3ème ?
@Tristan : si si, en Italie, c’est encore fréquent.
@ Brigitte : va savoir ! 😉
@Monsieur HR : je vais y penser ! 🙂
J’ai ajouté une autre version.
Too much peut être ? Mais c’est un régal.
J’aime beaucoup ! Il y a une auréole blanche…Rajout ou hasard ? La première version a ma préférence. Les noirs sont chouettes.
Aussi une préférence pour la première ! Très bien vu et très bien fait !
Je n’ai aucune référence en la matière…mais je préfère la première version par son côté trouble!
20 000 lieues sous les mers… en train ? J’aime de cliché mystérieux
Je préfère la première. Je ne savais pas qu’on fabriquait des confessionnaux avec éclairage tamisé intérieur. Bravo pour cette photo
Même première impression que EK, un effet bathyscaphe en eaux troubles! J’ignorais que ce genre de dispositif existait encore de nos jours, modernisé par le voyant lumineux en plus! Il fallait oser faire la photo…(mais l’anonymat est préservé!). Le moins que l’on puisse dire c’est que tu explores des sujets inhabituels… et j’aime être surpris 🙂
C’est la position du curé, bras nus, qui m’a fait empêcher d’y croire… 🙂
Merci pour vos commentaires et votre choix… éclairé!
Dispositif d’un autre âge mais encore bien présent en Italie (entre autres). Dans ce confessionnal, une lampe à l’intérieur éclaire le mur, d’où l’auréole circulaire.
@Tristan : pas les bras nus, mais les manches blanches d’un Père dominicain. 😉