Passionné de photo depuis de très nombreuses années J’ai une prédilection pour la pureté dépouillée du noir et blanc. Il m’arrive encore d’exposer et de scanner une pellicule argentique avec beaucoup de plaisir mais je pratique désormais essentiellement le numérique avec des appareils hybrides.
Mes suets de prédilection sont les paysages de mon jura d’adoption mais j’aime aussi, en ville, pratiquer la photo de rue. Les salles et terrasses, les portes et fenêtres ou les concerts de jazz font aussi partie de mes sujets favoris.
Pour moi la photo est un moyen de mémoriser l’instant, d’écrire par l’image, pour tout dire, de manière immodeste et utopique, de laisser derrière moi une petite trace de ma personne.
6 Commentaires
Monsieur HR
sur 17 novembre 2017 à 9h40
La mer est démontée ?
Estienne
sur 17 novembre 2017 à 13h56
J’ai attendu d’avoir un écran de qualité pour donner une appréciation de votre photo. Sur un écran plus lumineux, la grande plage de sable sur la droite n’est qu’une masse blanche, cramée et l’image est comme stérilisé&e par cette lumière. Ici, je découvre cet espace que la mer a délaissé pour quelques heures et un ciel habillé comme sait en produire l’océan. Une belle composition bien servie par une exposition de qualité !
Je n’y passerai pas mes vacances…
C’est bien fait, mais je ne vois pas quel est le sujet.
brigitte david
sur 17 novembre 2017 à 20h45
Des a-plats de morue décongelée. Une évocation de froidure extrême et un front de mer qui pourrait être n’importe quelle Baule. Comme un moment d’angoisse …
Merci à tous pour vos commentaires.
Ils m’amènent à faire, comme on dit en photographie, une petite « mise au point ».
Tout d’abord, Estienne, je ne crois pas qu’aucune partie de ma photo soit « cramée » à moins que mon Lightroom ne soit pas fiable… J’ai cependant délibérément accentué le contraste pour donner plus de vigueur à l’ensemble.
Cher Blagapart, chacun choisit son lieu de vacances comme il veut mais en l’occurence il y a chaque année des milliers de personnes qui choisissent cette station puisqu’il s’agit des Sables d’Olonne !D’autre part pour ce qui est de votre question quant au « sujet » de ma photo, je ne savais pas qu’un paysage en avait besoin. Dans ma conception, un paysage se suffit à lui même quand il est harmonieux, paisible, dramatique ou qu’il provoque toute autre émotion chez celui ou celle qui l’observe.
Enfin, Brigitte, pas de morue ici mais des rochers, des algues et du sable.
Ce qui m’a intéressé dans cette vue des Sables d’Olonne, c’est qu’elle sortait justement de la vision habituelle de ce genre de station avec une plage remplie de monde. J’étais ici sur la partie excentrée de la baie (pour ceux qui connaissent près du Tanchet) et j’ai aimé le contraste entre la forte population que l’on devine au loin et le premier plan désert.Je dois dire que le résultat correspond tout à fait à mes attentes.
Merci encore d’avoir réagi à ma publication.
Estienne
sur 20 novembre 2017 à 22h02
Tout à fait d’accord ! Pas de zone cramée à condition de la regarder sur un « bon » écran : c’est ce que je dis dans mon commentaire. Quant à l’image qu’en donne Brigitte, je trouve qu’elle est assez exacte : les surfaces de rocher partiellement ensablées ressemblent à l’étalage de morues séchées qu’affectionnent les Lusitaniens ! Cela n’est pas négatif, c’est juste très bien observé …
La mer est démontée ?
J’ai attendu d’avoir un écran de qualité pour donner une appréciation de votre photo. Sur un écran plus lumineux, la grande plage de sable sur la droite n’est qu’une masse blanche, cramée et l’image est comme stérilisé&e par cette lumière. Ici, je découvre cet espace que la mer a délaissé pour quelques heures et un ciel habillé comme sait en produire l’océan. Une belle composition bien servie par une exposition de qualité !
Je n’y passerai pas mes vacances…
C’est bien fait, mais je ne vois pas quel est le sujet.
Des a-plats de morue décongelée. Une évocation de froidure extrême et un front de mer qui pourrait être n’importe quelle Baule. Comme un moment d’angoisse …
Merci à tous pour vos commentaires.
Ils m’amènent à faire, comme on dit en photographie, une petite « mise au point ».
Tout d’abord, Estienne, je ne crois pas qu’aucune partie de ma photo soit « cramée » à moins que mon Lightroom ne soit pas fiable… J’ai cependant délibérément accentué le contraste pour donner plus de vigueur à l’ensemble.
Cher Blagapart, chacun choisit son lieu de vacances comme il veut mais en l’occurence il y a chaque année des milliers de personnes qui choisissent cette station puisqu’il s’agit des Sables d’Olonne !D’autre part pour ce qui est de votre question quant au « sujet » de ma photo, je ne savais pas qu’un paysage en avait besoin. Dans ma conception, un paysage se suffit à lui même quand il est harmonieux, paisible, dramatique ou qu’il provoque toute autre émotion chez celui ou celle qui l’observe.
Enfin, Brigitte, pas de morue ici mais des rochers, des algues et du sable.
Ce qui m’a intéressé dans cette vue des Sables d’Olonne, c’est qu’elle sortait justement de la vision habituelle de ce genre de station avec une plage remplie de monde. J’étais ici sur la partie excentrée de la baie (pour ceux qui connaissent près du Tanchet) et j’ai aimé le contraste entre la forte population que l’on devine au loin et le premier plan désert.Je dois dire que le résultat correspond tout à fait à mes attentes.
Merci encore d’avoir réagi à ma publication.
Tout à fait d’accord ! Pas de zone cramée à condition de la regarder sur un « bon » écran : c’est ce que je dis dans mon commentaire. Quant à l’image qu’en donne Brigitte, je trouve qu’elle est assez exacte : les surfaces de rocher partiellement ensablées ressemblent à l’étalage de morues séchées qu’affectionnent les Lusitaniens ! Cela n’est pas négatif, c’est juste très bien observé …