Un étonnant bourgeon qui émerge de ce champ de pierres, magnifiquement mis en valeur par sa position centrale et cette riche palette de gris. Le “petit” sapin donne l’échelle mais jusqu’à quel point … : bravo !
jmlg
sur 7 septembre 2017 à 11h45
S’il n’était les îles dévastées dans les Antilles, ce cliché me fait penser à un ouragan… Le sapin illustrant l’impuissance de l’homme face à cette puissance monstrueuse…
Monsieur HR
sur 7 septembre 2017 à 16h23
J’avais la même vision que JMLG: l’oeil du cyclone.
Actualité oblige, j’ai également vu dans un premier temps une figure d’ouragan.
L’inversion des tons au centre m’a fait hésiter entre un cratère ou un sommet. Mais, sans hésitation, un très beau cliché !!!
davidov
sur 11 septembre 2017 à 11h49
Très beau cliché. Moi j’y ai vu tout de suite un œil avec son sourcil souligné par cet amas de pierres blanches sinueux sur la gauche. Le sapin isolé ne serait que le reflet du photographe dans l’œil du modèle.
Un étonnant bourgeon qui émerge de ce champ de pierres, magnifiquement mis en valeur par sa position centrale et cette riche palette de gris. Le “petit” sapin donne l’échelle mais jusqu’à quel point … : bravo !
S’il n’était les îles dévastées dans les Antilles, ce cliché me fait penser à un ouragan… Le sapin illustrant l’impuissance de l’homme face à cette puissance monstrueuse…
J’avais la même vision que JMLG: l’oeil du cyclone.
J’ai été bien assisté par l’ombre d’un petit nuage, en ballade comme moi mais sur cet autre versant, qui est venu se positionner pile au bon endroit.
Actualité oblige, j’ai également vu dans un premier temps une figure d’ouragan.
L’inversion des tons au centre m’a fait hésiter entre un cratère ou un sommet. Mais, sans hésitation, un très beau cliché !!!
Très beau cliché. Moi j’y ai vu tout de suite un œil avec son sourcil souligné par cet amas de pierres blanches sinueux sur la gauche. Le sapin isolé ne serait que le reflet du photographe dans l’œil du modèle.
Je me vois assez bien “réincarné” (?) en sapin de montagne 🙂
Merci pour vos avis.
@ Davidov : Belle analogie !