brigitte david sur 24 août 2017 à 22h14 Effraction du végétal entre ravinements et éboulis au loin et au plus proche rugosité de la paroi rocheuse qui matérialise l’idée qu’on se fait de la croute terrestre. Toute la montagne dans son côté inhospitalier, terrible… Là où l’on sent qu’on n’est pas à l’échelle… Bien vu!
Estienne sur 25 août 2017 à 7h56 Magnifique ! La montagne ne rentre plus du tout dans le cadre, elle déborde et s’impose avec puissance et rudesse ! Et juste dans la courbe, l’arbre s’accroche dans une position vertigineuse : idéalement placé dans la composition ! Bravo !
Jean Fraipont sur 25 août 2017 à 9h14 “La forêt engloutie”. Comme une énorme avancée qui bouscule tout ! Super !
JLB sur 25 août 2017 à 17h54 @Brigitte: j’avais d’abord titré ” Quelque part sur l’écorce terrestre”, avant de me raviser pour plus simple. Nous ne sommes “pas à l’échelle”, à la fois dans l’espace et dans le temps, c’est bien mon propos en effet, et, de chaos en éboulis, je vous ferai quelques autres propositions par la suite. Merci. @Estienne: tu sais aussi que la montagne est assez frustrante pour le photographe qui ne peut restituer sa grandeur dans le cadre. Reste à choisir le détail qui va dire le tout; c’est ce que j’ai tenté ici. Merci @Jean: j’aurais aussi pu titrer “Magma”! Merci. @ Nitress: merci
Estienne sur 26 août 2017 à 8h43 Cela me rappelle un peu certaines photos très minérales de Madère que tu nous avais présenté ici même l’année dernière …
Monsieur HR sur 26 août 2017 à 10h35 A ne pas négliger la présence du minéral réduit en poudre, qui, plus tard et plus bas, servira à nourrir, à son tour, le végétal.
davidov sur 26 août 2017 à 15h06 Cela m’évoque la subduction de la croute océanique noire sous la croute continentale qui englouti tout sédiment et autre variété végétale superficielle dans le magma de l’asthénophère terrestre. Très belle image des déformations tectoniques qui s’illustrent dans nos montagnes alpines.
JLB sur 26 août 2017 à 17h49 @ Mr Hr : … et nous nous joindrons à lui! @ Davidov: je viens de faire un grand pas en géomorphologie et enrichi mon vocabulaire; moi qui parlait de pierres et de cailloux! 🙂 Merci à vous deux;
adrien pairraud sur 27 août 2017 à 9h46 tout a déjà été dit mais encore une fois : un très belle réussite !
blagapart sur 27 août 2017 à 12h16 Superbes nuances ! Un seul regret : que la silhouette ne contienne pas un seul arbre qui se détacherait mieux. Il aurait pourtant suffi d’une scie et d’un peu de courage.
brigitte david sur 28 août 2017 à 18h04 Côté vocabulaire… Ben oui l’écorce plutôt que la croute terrestre! Un petit côté tsunami minéral inquiétant!
Effraction du végétal entre ravinements et éboulis au loin et au plus proche rugosité de la paroi rocheuse qui matérialise l’idée qu’on se fait de la croute terrestre. Toute la montagne dans son côté inhospitalier, terrible… Là où l’on sent qu’on n’est pas à l’échelle…
Bien vu!
Magnifique ! La montagne ne rentre plus du tout dans le cadre, elle déborde et s’impose avec puissance et rudesse ! Et juste dans la courbe, l’arbre s’accroche dans une position vertigineuse : idéalement placé dans la composition ! Bravo !
“La forêt engloutie”. Comme une énorme avancée qui bouscule tout ! Super !
un super cadrage, magnifique!
@Brigitte: j’avais d’abord titré ” Quelque part sur l’écorce terrestre”, avant de me raviser pour plus simple. Nous ne sommes “pas à l’échelle”, à la fois dans l’espace et dans le temps, c’est bien mon propos en effet, et, de chaos en éboulis, je vous ferai quelques autres propositions par la suite. Merci.
@Estienne: tu sais aussi que la montagne est assez frustrante pour le photographe qui ne peut restituer sa grandeur dans le cadre. Reste à choisir le détail qui va dire le tout; c’est ce que j’ai tenté ici. Merci
@Jean: j’aurais aussi pu titrer “Magma”! Merci.
@ Nitress: merci
Cela me rappelle un peu certaines photos très minérales de Madère que tu nous avais présenté ici même l’année dernière …
A ne pas négliger la présence du minéral réduit en poudre, qui, plus tard et plus bas, servira à nourrir, à son tour, le végétal.
Cela m’évoque la subduction de la croute océanique noire sous la croute continentale qui englouti tout sédiment et autre variété végétale superficielle dans le magma de l’asthénophère terrestre. Très belle image des déformations tectoniques qui s’illustrent dans nos montagnes alpines.
@ Mr Hr : … et nous nous joindrons à lui!
@ Davidov: je viens de faire un grand pas en géomorphologie et enrichi mon vocabulaire; moi qui parlait de pierres et de cailloux! 🙂
Merci à vous deux;
Merveilleuse impression d’assister à un grand chamboulement !
tout a déjà été dit mais encore une fois : un très belle réussite !
Superbes nuances !
Un seul regret : que la silhouette ne contienne pas un seul arbre qui se détacherait mieux. Il aurait pourtant suffi d’une scie et d’un peu de courage.
Côté vocabulaire… Ben oui l’écorce plutôt que la croute terrestre! Un petit côté tsunami minéral inquiétant!