Jean Fraipont sur 20 mai 2017 à 20h39 Cela me fait penser à l’atelier d’un photographe, quand j’étais gamin. Il y avait des statues et des colonnes antiques qu’on déplaçait facilement dans des décors en carton prolongés de ciels grandiloquents. Cela dit, d’après le titre, ceci me paraît beaucoup plus sérieux !
brigitte david sur 21 mai 2017 à 8h17 Cela me fait penser à une biennale du design à Saint-Etienne. Un designer algérien avait créé des vases noirs en forme de silhouettes en burka… étêtées…C’était la période saignante des années 90…
Grains de sel sur 21 mai 2017 à 8h32 Bonjour, merci pour vos passages. Pour donner un peu plus de précision sur le sujet photographié, cette sculpture n’est ni mobile ni étêtée. Elle représente une mère le regard tourné vers l’est pleurant ses fils, des canadiens morts sur le champ de bataille en 1915. Sa tête étant inclinée vers le sol, du point de vue choisi c’est vrai qu’elle apparaît sans tête. J’ai d’autres angles que je trouve moins convaincants.
JLB sur 21 mai 2017 à 8h56 J’allais écrire “elle a la tête ailleurs” avant de lire l’explication ci-dessus! mais c’est un peu ça tout de même, la tête dans le souvenir, la mémoire. Une tristesse qui s’exprime ici dans la douceur, l’immobilité et le silence grâce aux choix du tirage.
brigitte david sur 21 mai 2017 à 9h00 Oui, on juge le parti pris photographique , pas la sculpture… Et comme le dit JLB il y a bien la tristesse, l’immobilité et le silence quels qu’ils soient!
adrien pairraud sur 21 mai 2017 à 14h24 une majesté sans pensée, sans organes des sens, sans mémoire : la guerre ! vous renforcez habilement le grandiose de la scène juste avec l’évocation du ciel, du bel ouvrage.
Estienne sur 22 mai 2017 à 9h54 L’angle de prise de vue excellent et, comme Adrien, le ciel adapté à ces funestes souvenirs : bravo !
blagapart sur 22 mai 2017 à 10h25 A quoi bon se jeter dans le vide lorsque l’on est déjà décapité ? Belle photo qui donne lieu à commentaires !
Grains de sel sur 22 mai 2017 Ã 19h08 Merci pour vos retours, content que mes choix vous conviennent !
Cela me fait penser à l’atelier d’un photographe, quand j’étais gamin. Il y avait des statues et des colonnes antiques qu’on déplaçait facilement dans des décors en carton prolongés de ciels grandiloquents.
Cela dit, d’après le titre, ceci me paraît beaucoup plus sérieux !
Cela me fait penser à une biennale du design à Saint-Etienne. Un designer algérien avait créé des vases noirs en forme de silhouettes en burka… étêtées…C’était la période saignante des années 90…
Bonjour, merci pour vos passages.
Pour donner un peu plus de précision sur le sujet photographié, cette sculpture n’est ni mobile ni étêtée. Elle représente une mère le regard tourné vers l’est pleurant ses fils, des canadiens morts sur le champ de bataille en 1915. Sa tête étant inclinée vers le sol, du point de vue choisi c’est vrai qu’elle apparaît sans tête. J’ai d’autres angles que je trouve moins convaincants.
J’allais écrire “elle a la tête ailleurs” avant de lire l’explication ci-dessus! mais c’est un peu ça tout de même, la tête dans le souvenir, la mémoire. Une tristesse qui s’exprime ici dans la douceur, l’immobilité et le silence grâce aux choix du tirage.
Oui, on juge le parti pris photographique , pas la sculpture… Et comme le dit JLB il y a bien la tristesse, l’immobilité et le silence quels qu’ils soient!
La mémoire qui flanche ?
une majesté sans pensée, sans organes des sens, sans mémoire : la guerre ! vous renforcez habilement le grandiose de la scène juste avec l’évocation du ciel, du bel ouvrage.
L’angle de prise de vue excellent et, comme Adrien, le ciel adapté à ces funestes souvenirs : bravo !
A quoi bon se jeter dans le vide lorsque l’on est déjà décapité ?
Belle photo qui donne lieu à commentaires !
Merci pour vos retours, content que mes choix vous conviennent !