adrien pairraud sur 7 avril 2017 à 22h33 je ne vous reconnais pas ici ! à mon sens la partie basse se suffit à elle-même : étrangeté, lumière, mise en abîme du photographe …
JLB sur 8 avril 2017 à 9h45 La fréquentation excessive de l’art nouveau n’est pas sans conséquences sur l’état du photographe! 🙂 Excellent cet autoportrait décomposé/recomposé par la complexité de l’espace. Pour moi le cadrage est bon et met en valeur le dialogue entre les formes vitrées. Bref, une complexité qui me plaît bien.
Estienne sur 8 avril 2017 à 10h14 Autoportrait en vrac, le photographe ne savait où donner de la tête ! Je pourrai passer une journée dans cet endroit tant il est inhabituel et fantastique ! Ceux qui le connaissent me comprennent ! 🙂
andreroques sur 9 avril 2017 à 8h09 Superbe ! J’aime beaucoup ce genre de photo. Il y a une vingtaine d’années, j’allais à Barcelone tous les 15 jours, mais je n’ai pas su y voir tout cela.
Estienne sur 10 avril 2017 à 15h05 Merci à tous ! La prochaine fois, je sors de la Casa Batllo mais je resterai sur le trottoir juste à coté : je n’en ai pas fini avec Barcelone !
je ne vous reconnais pas ici ! à mon sens la partie basse se suffit à elle-même : étrangeté, lumière, mise en abîme du photographe …
bref du Estienne !
Je partage le point de vue d’Adrien.
La fréquentation excessive de l’art nouveau n’est pas sans conséquences sur l’état du photographe! 🙂 Excellent cet autoportrait décomposé/recomposé par la complexité de l’espace. Pour moi le cadrage est bon et met en valeur le dialogue entre les formes vitrées. Bref, une complexité qui me plaît bien.
Autoportrait en vrac, le photographe ne savait où donner de la tête ! Je pourrai passer une journée dans cet endroit tant il est inhabituel et fantastique ! Ceux qui le connaissent me comprennent ! 🙂
Superbe ! J’aime beaucoup ce genre de photo. Il y a une vingtaine d’années, j’allais à Barcelone tous les 15 jours, mais je n’ai pas su y voir tout cela.
Merci à tous ! La prochaine fois, je sors de la Casa Batllo mais je resterai sur le trottoir juste à coté : je n’en ai pas fini avec Barcelone !