Estienne sur 16 février 2017 à 9h04 On reconnait bien la torchère de Feyzin prise depuis le pont du Rhône en plein épisode de pollution due aux véhicules dont on a limité la vitesse à 90 km/h … mais l’image est très dégradée, presque autant que la qualité de l’air … 🙂
blagapart sur 16 février 2017 à 11h53 L’image m’évoque une locomotive à vapeur photographiée aux environs de 1850. La dégradation de l’image convient bien au sujet !
brigitte david sur 16 février 2017 à 22h36 L’image est dégradée cher Estienne parce qu’en 1850 j’accompagnais Flaubert en Egypte et je me suis demandé si l’exploitation d’un puits de pétrole n’avait pas été mise à mal …j’ai tenu cependant à coller au réalisme subjectif de Gustave et à témoigner du fait que devant cet incident pétrolifaire j’en avais tremblé sur mon chameau…
Anonyme sur 27 février 2017 à 9h57 Bonne idée, beau résultat. La polution est donc en marche… Pour le côté phoyographique, un ciel plus clair donnerait plus d’impact à cette photo Egyptienne.
On reconnait bien la torchère de Feyzin prise depuis le pont du Rhône en plein épisode de pollution due aux véhicules dont on a limité la vitesse à 90 km/h … mais l’image est très dégradée, presque autant que la qualité de l’air … 🙂
L’image m’évoque une locomotive à vapeur photographiée aux environs de 1850. La dégradation de l’image convient bien au sujet !
L’image est dégradée cher Estienne parce qu’en 1850 j’accompagnais Flaubert en Egypte et je me suis demandé si l’exploitation d’un puits de pétrole n’avait pas été mise à mal …j’ai tenu cependant à coller au réalisme subjectif de Gustave et à témoigner du fait que devant cet incident pétrolifaire j’en avais tremblé sur mon chameau…
… je ne te croyais pas si … âgée ? 🙂
Bonne idée, beau résultat. La polution est donc en marche…
Pour le côté phoyographique, un ciel plus clair donnerait plus d’impact à cette photo Egyptienne.