adrien pairraud sur 10 février 2017 à 18h16 aaaahhh les blancs des bois flottés ! à en rugir de plaisir …
Monsieur HR sur 10 février 2017 à 23h37 Moi, je lui trouve plutôt un petit air panthère rose. On s’attend à entendre la musique d’Henri Mancini.
JLB sur 11 février 2017 à 17h30 Une gargouille de bois fossilisé au dessus d’un noir abyssal; une tension vers la gauche accentuée par les fibres du bois.
Estienne sur 15 février 2017 à 15h55 @ Adrien : du bois flotté mais pris dans une rivière immobile de lave cordée ! Si la partie enchâssée est brunie par la chaleur, ce morceau à peine au dessus a conservé sa blancheur … @ Mr HR : moi, je pensais plutôt au lion de Peugeot que l’on trouvait au bout du capot des voitures de la marque ! @ JLB : finalement “gargouille” lui va bien ! @ hervé : … ou “tigre” ! @ tous : merci de vous être penché avec moi sur ce bois immobilisé pour longtemps dans la lave … et de vos commentaires !
aaaahhh les blancs des bois flottés ! à en rugir de plaisir …
Moi, je lui trouve plutôt un petit air panthère rose. On s’attend à entendre la musique d’Henri Mancini.
Une gargouille de bois fossilisé au dessus d’un noir abyssal; une tension vers la gauche accentuée par les fibres du bois.
Bravo !!!!!!
Presque un tigre en voyant les rayures!
@ Adrien : du bois flotté mais pris dans une rivière immobile de lave cordée ! Si la partie enchâssée est brunie par la chaleur, ce morceau à peine au dessus a conservé sa blancheur …
@ Mr HR : moi, je pensais plutôt au lion de Peugeot que l’on trouvait au bout du capot des voitures de la marque !
@ JLB : finalement “gargouille” lui va bien !
@ hervé : … ou “tigre” !
@ tous : merci de vous être penché avec moi sur ce bois immobilisé pour longtemps dans la lave … et de vos commentaires !