Apprenti en argentique avec ses labos rouges aux odeurs lourdes de leurs soupes chimiques avant d'évoluer vers le numérique et ses MégaOctets électroniques impalpables et inodores, depuis 50 ans mais toujours Photographe Amateur
6 Commentaires
adrien pairraud
sur 10 février 2017 à 18h16
aaaahhh les blancs des bois flottés ! à en rugir de plaisir …
Monsieur HR
sur 10 février 2017 à 23h37
Moi, je lui trouve plutôt un petit air panthère rose. On s’attend à entendre la musique d’Henri Mancini.
@ Adrien : du bois flotté mais pris dans une rivière immobile de lave cordée ! Si la partie enchâssée est brunie par la chaleur, ce morceau à peine au dessus a conservé sa blancheur …
@ Mr HR : moi, je pensais plutôt au lion de Peugeot que l’on trouvait au bout du capot des voitures de la marque !
@ JLB : finalement “gargouille” lui va bien !
@ hervé : … ou “tigre” !
@ tous : merci de vous être penché avec moi sur ce bois immobilisé pour longtemps dans la lave … et de vos commentaires !
aaaahhh les blancs des bois flottés ! à en rugir de plaisir …
Moi, je lui trouve plutôt un petit air panthère rose. On s’attend à entendre la musique d’Henri Mancini.
Une gargouille de bois fossilisé au dessus d’un noir abyssal; une tension vers la gauche accentuée par les fibres du bois.
Bravo !!!!!!
Presque un tigre en voyant les rayures!
@ Adrien : du bois flotté mais pris dans une rivière immobile de lave cordée ! Si la partie enchâssée est brunie par la chaleur, ce morceau à peine au dessus a conservé sa blancheur …
@ Mr HR : moi, je pensais plutôt au lion de Peugeot que l’on trouvait au bout du capot des voitures de la marque !
@ JLB : finalement “gargouille” lui va bien !
@ hervé : … ou “tigre” !
@ tous : merci de vous être penché avec moi sur ce bois immobilisé pour longtemps dans la lave … et de vos commentaires !