Monsieur HR sur 30 janvier 2017 à 10h16 La netteté diminue au fur et à masure que l’on s’éloigne du coin inférieur gauche en suivant la courbe de la rue pavée. Une invitation à rentrer dans un autre monde ?
Estienne sur 30 janvier 2017 à 16h31 J’ai l’impression que tu as utilisé la petite boite dont tu nous parlais lors de ta dernière publication. La netteté est très limitée et essentiellement concentrée dans l’angle inférieur gauche. Le reste part dans un flou très régulier quelque soit la profondeur de champ au lieu de s’accentuer au fur et à mesure de l’éloignement : très curieux ! Peux-tu nous en dire plus sur l’instrument ?
Pierre Grave sur 30 janvier 2017 à 16h45 Un peu inspiré par Kertesz ? http://gasket-gallery.com/andre-kertesz-meudon-1928/
hervé sur 30 janvier 2017 à 17h32 En publiant cette photo, j’ai aussi pensé à cette image de Kertész que j’admire depuis longtemps et pour laquelle je me disais qu’il serait impossible de la faire actuellement. De telle sorte que je n’y pensais pas (consciemment) à la prise de vue.
brigitte david sur 30 janvier 2017 à 18h31 Les fenêtres du train découpées comme le négatif d’un rouleau argentique. Strange lamps hanging … la silhouette solitaire et un virage qui n’a rien de photographique … Le tout noyé dans un contre-jour et un flou… cela fait beaucoup d’informations pour une photo par ailleurs bien composée. Si ça se trouve il y a une histoire qui va avec!
hervé sur 30 janvier 2017 à 18h35 Vous avez l’oeil aiguisé par la pratique photographique ! Il s’agit d’une petite chambre photo qui permet des mouvements de décentrement et de bascule avant et arrière, elle accepte des objectifs variés et un dos numérique, dos film ou un APN, on peut contrôler la perspective et les plans de netteté. Ici la chambre est installée à l’horizontale avec un décentrement du plan arrière pour cadrer le haut sans lignes fuyantes. L’objectif est basculé vers la gauche pour obtenir la netteté à gauche et peut être une légère bascule sur le plan horizontal pour limiter la netteté en profondeur. https://transparaitre.blogspot.fr/
hervé sur 30 janvier 2017 à 18h49 Brigitte, beaucoup d’informations sur cette image (trop peut-être ?) Pour l’histoire, à chacun la sienne, moi je vois quelqu’un qui marche…
adrien pairraud sur 30 janvier 2017 à 21h27 tout simplement délicieuse tant sur le plan technique que dans la poésie qu’elle dégage … presque un autre temps en effet mais sans inutile nostalgie !
andreroques sur 31 janvier 2017 à 9h03 J’aime beaucoup l’ambiance de cette photo. Mais en plus, comme le fait remarquer Brigitte, il y a un mélange merveilleusement agencé de formes, de lignes et de courbes etc …
blagapart sur 31 janvier 2017 à 19h39 J’aurais aimé que le flou du train soit le même du premier au dernier wagon, mais c’est vraiment mineur par rapport à la poésie qui se dégage de cette photo. La composition est remarquable par la multiplicité des structures en ligne. Bref, je suis totalement sous le charme. L’ambiance me fait penser à Tardi…
JLB sur 1 février 2017 à 10h39 Ambiance très onirique. J’aime beaucoup cette courbe qui bascule en bas à gauche, et entraîne le regard vers la silhouette et le flou.
hervé sur 2 février 2017 à 12h39 Merci à vous, j’aime bien ce train qui se matérialise et Malet/Tardi pour avoir longtemps vécu dans le brouillard du pont de Tolbiac.
La netteté diminue au fur et à masure que l’on s’éloigne du coin inférieur gauche en suivant la courbe de la rue pavée. Une invitation à rentrer dans un autre monde ?
J’ai l’impression que tu as utilisé la petite boite dont tu nous parlais lors de ta dernière publication. La netteté est très limitée et essentiellement concentrée dans l’angle inférieur gauche. Le reste part dans un flou très régulier quelque soit la profondeur de champ au lieu de s’accentuer au fur et à mesure de l’éloignement : très curieux ! Peux-tu nous en dire plus sur l’instrument ?
Un peu inspiré par Kertesz ?
http://gasket-gallery.com/andre-kertesz-meudon-1928/
En publiant cette photo, j’ai aussi pensé à cette image de Kertész que j’admire depuis longtemps et pour laquelle je me disais qu’il serait impossible de la faire actuellement. De telle sorte que je n’y pensais pas (consciemment) à la prise de vue.
Les fenêtres du train découpées comme le négatif d’un rouleau argentique. Strange lamps hanging … la silhouette solitaire et un virage qui n’a rien de photographique … Le tout noyé dans un contre-jour et un flou…
cela fait beaucoup d’informations pour une photo par ailleurs bien composée.
Si ça se trouve il y a une histoire qui va avec!
Vous avez l’oeil aiguisé par la pratique photographique !
Il s’agit d’une petite chambre photo qui permet des mouvements de décentrement et de bascule avant et arrière, elle accepte des objectifs variés et un dos numérique, dos film ou un APN, on peut contrôler la perspective et les plans de netteté.
Ici la chambre est installée à l’horizontale avec un décentrement du plan arrière pour cadrer le haut sans lignes fuyantes. L’objectif est basculé vers la gauche pour obtenir la netteté à gauche et peut être une légère bascule sur le plan horizontal pour limiter la netteté en profondeur.
https://transparaitre.blogspot.fr/
Brigitte, beaucoup d’informations sur cette image (trop peut-être ?)
Pour l’histoire, à chacun la sienne, moi je vois quelqu’un qui marche…
tout simplement délicieuse tant sur le plan technique que dans la poésie qu’elle dégage … presque un autre temps en effet mais sans inutile nostalgie !
J’aime beaucoup l’ambiance de cette photo. Mais en plus, comme le fait remarquer Brigitte, il y a un mélange merveilleusement agencé de formes, de lignes et de courbes etc …
J’aurais aimé que le flou du train soit le même du premier au dernier wagon, mais c’est vraiment mineur par rapport à la poésie qui se dégage de cette photo. La composition est remarquable par la multiplicité des structures en ligne. Bref, je suis totalement sous le charme. L’ambiance me fait penser à Tardi…
Ambiance très onirique. J’aime beaucoup cette courbe qui bascule en bas à gauche, et entraîne le regard vers la silhouette et le flou.
Merci à vous, j’aime bien ce train qui se matérialise et Malet/Tardi pour avoir longtemps vécu dans le brouillard du pont de Tolbiac.
Adèle Blansec n’est pas loin ! Belle recherche !