« Il s'agit de trouver quelque chose d'intéressant dans un endroit ordinaire... Cela n'a pas grand-chose à voir avec les choses que vous voyez, mais cela a tout à voir avec la façon dont vous les voyez. »
Elliott ERWITT
9 Commentaires
Philippe Schalk
sur 24 janvier 2017 à 11h37
un grand classique…un arbre isolé en fond de paysage…;-)
Monsieur HR
sur 24 janvier 2017 à 12h22
Très noir. Manque tout de même un vol de corbeaux.
Estienne
sur 24 janvier 2017 à 13h41
Le saule plus dégagé (moins engoncé dans le pré) aurait mieux joué le point d’équilibre de cette image.
sujet sensiblement identique au précédent mais avec des choix bien moins classiques que les miens … j’aime bien votre travail sur tes textures de noirs mais comme Estienne, le saule me semble manquer d’ampleur.
Le premier mot qui m’est venu à l’esprit en découvrant cette photo, c’est le mot “glèbe”! une terre argileuse, grasse, collante, presque bitumeuse, où, comme l’arbre, on pourrait s’enfoncer et se perdre.
brigitte david
sur 26 janvier 2017 à 18h36
Terre noire et grasse avec le vernissé d’un fondant au chocolat…
Bon, pas de bistrot, pas de kiosque, pas de cinéma, dans les parages!
Merci pour vos retours !
Le titre est peut-être mal choisi car c’est plutôt la terre noire (la glèbe comme dit JLB) le sujet. J’y retournerai, avant que ça ne pousse ! 🙂
@Monsieur HR : j’ai beau dire “petits petits”, ils sont pas venus.
@ Brigitte : la marche finit souvent au bistrot ! 🙂
un grand classique…un arbre isolé en fond de paysage…;-)
Très noir. Manque tout de même un vol de corbeaux.
Le saule plus dégagé (moins engoncé dans le pré) aurait mieux joué le point d’équilibre de cette image.
J’aime bien la composition
sujet sensiblement identique au précédent mais avec des choix bien moins classiques que les miens … j’aime bien votre travail sur tes textures de noirs mais comme Estienne, le saule me semble manquer d’ampleur.
Le premier mot qui m’est venu à l’esprit en découvrant cette photo, c’est le mot “glèbe”! une terre argileuse, grasse, collante, presque bitumeuse, où, comme l’arbre, on pourrait s’enfoncer et se perdre.
Terre noire et grasse avec le vernissé d’un fondant au chocolat…
Bon, pas de bistrot, pas de kiosque, pas de cinéma, dans les parages!
Merci pour vos retours !
Le titre est peut-être mal choisi car c’est plutôt la terre noire (la glèbe comme dit JLB) le sujet. J’y retournerai, avant que ça ne pousse ! 🙂
@Monsieur HR : j’ai beau dire “petits petits”, ils sont pas venus.
@ Brigitte : la marche finit souvent au bistrot ! 🙂
Un beau paysage minimaliste….