Jean Fraipont sur 17 novembre 2016 à 16h39 Et oui ! “Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.”
François Cardi sur 18 novembre 2016 à 18h18 Brassens en a chanté plusieurs, mais celle-ci est sans doute unique.
Estienne sur 21 novembre 2016 à 17h33 Un portrait en rêve pour justifier le flou : on rajoute ainsi une passante à la galerie de Brassens.
JeF sur 30 novembre 2016 à 20h41 “Je veux dédier ce poème, à toutes les femmes que l’on aime, pendant quelques instants secrets…” (oups, j’ai commenté sans lire tous vos post : nous nous retrouvons sur le poème d’Antoine POL chanté par BRASSENS !
Matoufilou sur 15 décembre 2016 à 13h22 Elle est belle et certainement très honnête mais quand même pas nette, non ?! Cela dit, j’aime bien. L’essentiel est qu’on lui rende hommage. Et quel hommage que de convoquer Brassens à tour de bras !
L’émotion dans l’oeil du photographe ?
Et oui !
“Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.”
Rien à dire de plus !
Brassens en a chanté plusieurs, mais celle-ci est sans doute unique.
A la fois fière et rêveuse. Beau portrait!
Un portrait en rêve pour justifier le flou : on rajoute ainsi une passante à la galerie de Brassens.
Merci de votre indulgence pour ce portrait volé.
“Je veux dédier ce poème, à toutes les femmes que l’on aime, pendant quelques instants secrets…” (oups, j’ai commenté sans lire tous vos post : nous nous retrouvons sur le poème d’Antoine POL chanté par BRASSENS !
Double merci JeF !
Elle est belle et certainement très honnête mais quand même pas nette, non ?! Cela dit, j’aime bien. L’essentiel est qu’on lui rende hommage. Et quel hommage que de convoquer Brassens à tour de bras !
@Matoufilou : nettement floue ! 🙂 Merci !