JMLG sur 1 juin 2016 à 9h16 Bonjour, Moi, ça m’énerve toujours un peu quand de la sorte on se plaît à préciser “à la manière de…”. Que de revendiquer une publication n’est pas forcément un exercice facile dès lors que l’on veuille bien s’y prêter… Alors, pourquoi en rajouter une couche en se réfugiant derrière ce pseudo alibi du vrai-faux ou du faux-vrai… D’ailleurs, il eut été plus correct, quitte à aller jusqu’au bout, de mettre “Errance” entre guillemets puisque le titre emprunte à celui du bouquin de Depardon… S’il n’était cette remarque, ici, nous ne sommes pas sur les mêmes rapports de plans… Ils ne “fonctionnent” pas forcément ensemble. L’un renvoyant à l’autre, donnant du mouvement à l’image… Les fils électriques contribuant à cette dynamique par exemple. Mais il aurait fallu qu’ils “traversent” la rue… Belle journée et à bientôt.
Estienne sur 1 juin 2016 à 9h41 Vous êtes juste à coté d’un élément graphique et vous n’en profitez pas … les hachures du passage-piéton étaient pourtant attirantes !
JMLG sur 1 juin 2016 à 12h33 Oh Estienne, je me méfie de ces passages réservés aux piétons, et accessoirement aux photographes. Ils sont terriblement dangereux, et il paraît même que la délinquance routière y rôde…
Sylvain.B sur 1 juin 2016 à 15h11 @JMLG: Je suis ravi de votre commentaire. Laissez moi vous expliquer ma démarche. Au sein du club photo duquel je suis adherant nous travaillons chaque moi sur un sujet different. Ce moi si le théme est “A la maniere de…”. J’ai choisis, pour cette etude, Raymond Depardon et sa serie (ouvrez les guillemets) Errance (fermez les guillemets). C’est une demarche assumée, je ne me cache pas derriere un photographe celebre. C’est un vrai-vrai semblant. Vous semblez vous même bien connaitre cette oeuvre et je touve votre reflection sur “les rapports de plans” trés juste. Cordialement.
Bonjour,
Moi, ça m’énerve toujours un peu quand de la sorte on se plaît à préciser “à la manière de…”. Que de revendiquer une publication n’est pas forcément un exercice facile dès lors que l’on veuille bien s’y prêter… Alors, pourquoi en rajouter une couche en se réfugiant derrière ce pseudo alibi du vrai-faux ou du faux-vrai… D’ailleurs, il eut été plus correct, quitte à aller jusqu’au bout, de mettre “Errance” entre guillemets puisque le titre emprunte à celui du bouquin de Depardon…
S’il n’était cette remarque, ici, nous ne sommes pas sur les mêmes rapports de plans… Ils ne “fonctionnent” pas forcément ensemble. L’un renvoyant à l’autre, donnant du mouvement à l’image… Les fils électriques contribuant à cette dynamique par exemple. Mais il aurait fallu qu’ils “traversent” la rue…
Belle journée et à bientôt.
Vous êtes juste à coté d’un élément graphique et vous n’en profitez pas … les hachures du passage-piéton étaient pourtant attirantes !
Oh Estienne, je me méfie de ces passages réservés aux piétons, et accessoirement aux photographes. Ils sont terriblement dangereux, et il paraît même que la délinquance routière y rôde…
@JMLG: Je suis ravi de votre commentaire. Laissez moi vous expliquer ma démarche.
Au sein du club photo duquel je suis adherant nous travaillons chaque moi sur un sujet different. Ce moi si le théme est “A la maniere de…”.
J’ai choisis, pour cette etude, Raymond Depardon et sa serie (ouvrez les guillemets) Errance (fermez les guillemets).
C’est une demarche assumée, je ne me cache pas derriere un photographe celebre. C’est un vrai-vrai semblant.
Vous semblez vous même bien connaitre cette oeuvre et je touve votre reflection sur “les rapports de plans” trés juste.
Cordialement.