blagapart

longue histoire...
12 Commentaires
  1. Surtout aussi légèrement vêtus ! J’aime beaucoup les jeux de reflets dans les vitrines qui voilent (peu) ces charmes artificiels ! Un beau carré !

  2. ça devient rare des mannequins réalistes. Mais on y revient, paraît-il. Plus humains, donc plus proches. Paraît-il.

  3. Reeperbahn ?

  4. Bonjour,

    Mouais, pour le côté humain, j’émets des doutes…

    Un cliché qui appartient à une série ou bien est-il seul et unique ? Du genre “je passais par là”…

    Quant au titre, je ne le trouve pas d’une grande délicatesse.

    Belle journée,
    beau week-end.

  5. Appâts ou appas ? Les 2 mots viennent d’appâter. Etonnant! Non?

  6. Et c’est bien le verbe “appâter” qui m’embête…

  7. Du l’esche vitrine paraîtrait grivois…J’aime beaucoup la lumière. 😉

  8. Au delà du titre que je trouve aussi mal choisi, j’apprécie cette composition de rue qui mélange du faux réaliste et du vrai pas “sexy”.

    @Monsieur HR : Mauvaises fréquentations… 🙂

  9. J’aime bien ce cadrage.

  10. @JMLG : il y a effectivement une série que l’on peut consulter si on a plus de 18 ans :
    http://phototemps.fr/blog/?page_id=8004

    @appâts : les vitrines sont faites pour appâter, et les femmes dénudées pour appâter deux fois plus (pour vendre des voitures, des magazines…et j’en passe). Donc je ne comprends pas les réticences quant au titre qui ne fait que décrire le but de l’installation…

    @appas : je préfère photographier des sculptures de Maiilol.

    @HR : il est d’usage de partager des sites de photographes, mais pourquoi pas des mauvais lieux !
    Mais ce n’est pas à Hambourg…

    Merci à tous.

  11. PS : c’est à Rome
    PS2 : “l’appât” est aussi le titre d’un film

  12. Ce qui est intéressant c’est le regard détourné – et grave- des appâteuses. L’air de rien. Pensant à autre chose.
    Ca me renvoie à un petit texte:
    “D’une pâleur divine, d’une vraie blondeur, des yeux immenses et bleus, diaphane, terriblement jeune et ostensiblement réservée, elle arpente le trottoir la nuit, en lisant Mickey.”

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