Brigitte Ghilain

Un peu d'information biographique, c'est dire que je suis une femme toujours émerveillée et contente de vivre chaque instant comme un cadeau. Et cadrer dans mon viseur est une de ces joies quotidiennes. Axée essentiellement sur la nature et la macro, cela m'arrive parfois d'être infidèle et de saisir le quotidien humain et urbain.
9 Commentaires
  1. Le montage n’est pas convaincant. La technique n’est pas très difficile à manipuler mais le choix des images que l’on imbrique est lui toujours délicat et là, cette tempête de neige sur le quai est un peu trop étrange. 🙂

  2. Un port plein d’esprit ?

  3. @ Estienne, tu as raison, une double exposition n’est pas difficile à réaliser avec le boitier que j’utilise (EOS 5DII). Il suffit de se mettre en “multiexpo”.
    J’y ai pensé ce jour là, on bord de Tage, à Lisbonne. Le Tage était “démonté” ce 2 mai 2015. Et j’ai eu cette phrase qui m’est arrivée en tête.
    Et c’est comme ça, que j’ai choisi de faire cette superposition du Tage et des pavés.
    Et à chaque fois que je regarde cette photo… une émotion me prend.
    Merci de ton avis.

  4. @HR : le bord du Tage, à Lisbonne, début mai… Et oui, plein d’esprit! 🙂

  5. Je pensais que tu avais fait un montage avec Photoshop (avec calques et mode de fusion). Une multi-exposition est encore plus difficile car on fait la deuxième au jugé ce qui n’est pas simple du tout. Enfin, une émotion, une recherche nous procure parfois une image qui évoque tout cela pour l’auteur mais il est souvent difficile de faire “passer” cela aux spectateurs d’où une appréciation décalée par rapport à ton émotion !

  6. comme Estienne…elle ne me convainc pas celle là…;-)

  7. Pas de souci Philippe. Chacun a bien le droit d’avoir son ressenti. 🙂

  8. auriez vous conserver une prise doublée de la vue des quais car elle a un très beau potentiel. sinon pour le choix de la double expo, ou d’une texture post-prod, ça me semble être une bone idée ici, il s’agit d’une histoire d’ajustements techniques.

  9. Moi j’aime beaucoup cette version inattendue do Tejo – “o Mar da palha” la mer de paille – que l’on voit plus souvent dans une réverbération éblouissante.
    J’aime aussi cette composition géométrique – elle aussi inattendue – d’une photo prise en regardant la côte et non la mer… Bref, j’aime bien.

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