Je regarde passer cette série, et je suis surpris par l’authenticité de ce “reportage”, aussi bien en ce qui concerne les gestes, les outils et accessoires culinaires et l’apparence des protagonistes du “drame” qui se joue. Pour moi des scènes qui semblent surgir d’un très lointain passé, et qui réactive plutôt de mauvais souvenirs d’enfance! Alors une question simple: s’agit-il d’images d’archives ou est-ce-que cette activité se pratique encore de nos jours quelque part en France?
Pour répondre à JLB ces clichés ont tout juste 2 ans et oui ca se fait toujours dans les campagnes du Tarn, bien sur il ne reste plus que les anciens qui pratiquent, le Papi de mon reportage vient de fêter ses 83 ans on les appelle “des seigneurs” car c’est eux qui tuent la bête, c’est sur que je connais bien la famille sinon pas question de photos !
Merci encore pour vos commentaires encourageants.
OlivMo
sur 6 février 2016 à 12h58
Une odeur autre que le N°5 me monte aux narines et je file chez le charcutier.
Une belle série, un témoignage.
Merci Gagnoule pour ces infos. Les premières images de la série sont si “vraies” que l’on a l’impression d’entendre les hurlements de la bête ou de respirer l’odeur écoeurante des viscères fumantes. Aurons nous droit au four de pierre que l’on chauffe avec de gros fagots de bois, aux patés que l’on retire de ce même four, flottant sur un lit de graisse en ébullition? La suite nous le dira!
Brigitte Ghilain
sur 6 février 2016 à 17h57
Que ça doit être bon! Mmmmm.
Ceci dit, beau reportage Gagnoule, et contente que tu nous le fasses partager.
JMP
sur 6 février 2016 à 18h49
Ambiance sérieuse et laborieuse pour les femmes qui prennent le relais ( après la barbarie, qui incombe aux homme, place à la cuisine). N’étant pas tout jeune, j’ai connu dans mon enfance une ou deux fois cet événement, qui prenait des allures de fête de famille, ou de village, mélange de labeur et de joie, à la manière des paysans d’autrefois, quand “on tuait le cochon” . ça nous rajeunit pas… Tiens !
adrien pairraud
sur 6 février 2016 à 22h11
je l’attendais impatiemment cette photo depuis le début de la série : à la hauteur de mes espérances.
vous réussissez à ne pas tomber dans la nostalgie caricaturale malgré le sujet très “terroir”, de la bonne photo documentaire.
Je regarde passer cette série, et je suis surpris par l’authenticité de ce “reportage”, aussi bien en ce qui concerne les gestes, les outils et accessoires culinaires et l’apparence des protagonistes du “drame” qui se joue. Pour moi des scènes qui semblent surgir d’un très lointain passé, et qui réactive plutôt de mauvais souvenirs d’enfance! Alors une question simple: s’agit-il d’images d’archives ou est-ce-que cette activité se pratique encore de nos jours quelque part en France?
J’espère bien que cela se fait encore ! Très belle image de travail !
Pour répondre à JLB ces clichés ont tout juste 2 ans et oui ca se fait toujours dans les campagnes du Tarn, bien sur il ne reste plus que les anciens qui pratiquent, le Papi de mon reportage vient de fêter ses 83 ans on les appelle “des seigneurs” car c’est eux qui tuent la bête, c’est sur que je connais bien la famille sinon pas question de photos !
Merci encore pour vos commentaires encourageants.
Une odeur autre que le N°5 me monte aux narines et je file chez le charcutier.
Une belle série, un témoignage.
Oui, on voit bien que l’inspection de l’Agence de sécurité sanitaire ne passe pas par là ! Un beau reportage authentique.
Nette division du travail entre les femmes et les hommes. Du côté des discussions, je devine que ça ne doit pas être la même chose non plus.
Merci Gagnoule pour ces infos. Les premières images de la série sont si “vraies” que l’on a l’impression d’entendre les hurlements de la bête ou de respirer l’odeur écoeurante des viscères fumantes. Aurons nous droit au four de pierre que l’on chauffe avec de gros fagots de bois, aux patés que l’on retire de ce même four, flottant sur un lit de graisse en ébullition? La suite nous le dira!
Que ça doit être bon! Mmmmm.
Ceci dit, beau reportage Gagnoule, et contente que tu nous le fasses partager.
Ambiance sérieuse et laborieuse pour les femmes qui prennent le relais ( après la barbarie, qui incombe aux homme, place à la cuisine). N’étant pas tout jeune, j’ai connu dans mon enfance une ou deux fois cet événement, qui prenait des allures de fête de famille, ou de village, mélange de labeur et de joie, à la manière des paysans d’autrefois, quand “on tuait le cochon” . ça nous rajeunit pas… Tiens !
je l’attendais impatiemment cette photo depuis le début de la série : à la hauteur de mes espérances.
vous réussissez à ne pas tomber dans la nostalgie caricaturale malgré le sujet très “terroir”, de la bonne photo documentaire.
Cette n°6 se démarque des précédentes par un traitement plus contrasté, plus noir. Et je trouve que ça lui réussit.
Euh, n°5, pardon.