Né en 1949, habite Tours (37), retraité et syndicaliste
Je dirais bien que j'aime mettre mon "grain de sel" mais cette expression est déjà utilisée (à bon escient) par un autre photographe sur le blog .
Je pratique la photo en pointillé, de manière un peu erratique, sans véritable style personnel nettement défini, avec un petit goût pour le flou, souvent mal maîtrisé d'ailleurs
J'éprouve un vrai plaisir à dialoguer sur le blog et je pense que ma pratique, notamment celle du post traitement informatique de la photo s'est améliorée grâce à ces échanges
Accordéon? bandonéon? Ce reflet sur le piano et le lien avec les mains du pianiste, c’est ce que je vois en premier, puis les pieds avec les partitions au sol et les surfaces claires du sol qui y font écho. Par contre la partition en haut à droite attire le regard hors-champ.
Très chouette, avec le mouvement rapide de la main droite et les talons usés à force de “pédaler”.
OlivMo
sur 6 février 2016 à 12h45
Un noir et blanc bien tranché qui donne envie de taper du pied 🙂 c’est vrai que ce morceau de partition… Attire un peu trop…
Brigitte Ghilain
sur 6 février 2016 à 17h43
Oui, chouette photo. Suis d’accord que la partition au sol attire le regard, mais équilibre aussi la composition. 😉
Quand on met la main devant pour la “supprimer du regard” … Pour moi, il y a comme un déséquilibre.
Monsieur HR
sur 6 février 2016 à 20h13
Merci de vos passages.
Bien vu JLB, la réponse précise la semaine prochaine.
La partition fout bien le camp, mais c’est du fait de l’artiste qui en jetait une au sol après chaque morceau. J’ai d’ailleurs essayé de saisir ce geste, mais rien de bien probant.
Pour ce qui est du bout de partition à droite, l’idée serait que ce sont, symboliquement les notes qui s’échappent de l’instrument. Comment ça vous n’êtes pas convaincus ? Je trouve que, pourtant, Brigitte n’a pas tort quand elle évoque l’équilibre de l’image.
En fait cette photo, c’est un peu le regard qui fait l’école buissonnière pendant le concert. Et il se fixe sur les mains et les pieds de l’instrumentiste, qui sont, tout de même, ce qu’il y a de plus important pour un pianiste.
adrien pairraud
sur 6 février 2016 à 21h57
le choix de valoriser les pieds, souvent mésestimés, et tous ces éléments périphériques donnent à l’ensemble un côté foutraque que j’aime beaucoup. on imagine une musique très libre, free-jazz peut-être … étonnant pour un musicien classique à l’image souvent plus policée.
Monsieur HR
sur 7 février 2016 à 10h13
Philippe Argenty est effectivement un musicien classique mais il a décidé de ne pas donner de concerts trop guindés. Il s’ouvre à la musique du monde, ici au Tango, dont les expressions confinent à la musique “savante”, avec, par exemple, les compositions d’Astor Piazzola.
Pianiste, ta partition fout le camp ! Mais peut-être n’en as-tu plus besoin …
Accordéon? bandonéon? Ce reflet sur le piano et le lien avec les mains du pianiste, c’est ce que je vois en premier, puis les pieds avec les partitions au sol et les surfaces claires du sol qui y font écho. Par contre la partition en haut à droite attire le regard hors-champ.
Très chouette, avec le mouvement rapide de la main droite et les talons usés à force de “pédaler”.
Un noir et blanc bien tranché qui donne envie de taper du pied 🙂 c’est vrai que ce morceau de partition… Attire un peu trop…
Oui, chouette photo. Suis d’accord que la partition au sol attire le regard, mais équilibre aussi la composition. 😉
Quand on met la main devant pour la “supprimer du regard” … Pour moi, il y a comme un déséquilibre.
Merci de vos passages.
Bien vu JLB, la réponse précise la semaine prochaine.
La partition fout bien le camp, mais c’est du fait de l’artiste qui en jetait une au sol après chaque morceau. J’ai d’ailleurs essayé de saisir ce geste, mais rien de bien probant.
Pour ce qui est du bout de partition à droite, l’idée serait que ce sont, symboliquement les notes qui s’échappent de l’instrument. Comment ça vous n’êtes pas convaincus ? Je trouve que, pourtant, Brigitte n’a pas tort quand elle évoque l’équilibre de l’image.
En fait cette photo, c’est un peu le regard qui fait l’école buissonnière pendant le concert. Et il se fixe sur les mains et les pieds de l’instrumentiste, qui sont, tout de même, ce qu’il y a de plus important pour un pianiste.
le choix de valoriser les pieds, souvent mésestimés, et tous ces éléments périphériques donnent à l’ensemble un côté foutraque que j’aime beaucoup. on imagine une musique très libre, free-jazz peut-être … étonnant pour un musicien classique à l’image souvent plus policée.
Philippe Argenty est effectivement un musicien classique mais il a décidé de ne pas donner de concerts trop guindés. Il s’ouvre à la musique du monde, ici au Tango, dont les expressions confinent à la musique “savante”, avec, par exemple, les compositions d’Astor Piazzola.