adrien pairraud sur 13 janvier 2016 à 11h13 vous évoquiez l’empathie avec le sujet lors d’un précédent commentaire, il est particulièrement palpable ici. un cliché “documentaire” très réussi que vous nous proposez aujourd’hui : sujet peu commun, composition bien équilibrée et tirage argentine granuleux à souhait. et surtout quelle belle expression du visage …
casa sur 13 janvier 2016 à 13h12 comme j’aime vos photos. Celle-ci comme d’autres, tsiganes, amoureux…Sorties du carton à chaussures, gondolées, cornées, et ces légers pincements au cÅ“ur, comme cela, pour rien, pour la photo, pour le souvenir… Cette photo, ce regard, ces gestes, ce grain…
brigitte david sur 13 janvier 2016 à 13h22 Très belle photo. Très narrative. On pense à d’autres évoquées sur les roms, l’Est plein de boue et de froid. Mais ça pourrait être aussi le Pilat, pour le climat au moins. Il y a un côté cinéma anglais des années 60. Ou allemand… J’aime beaucoup cette veine là !
Jean Fraipont sur 13 janvier 2016 à 14h32 Une réelle émotion entre le spectateur et la scène très bien rendue par un tirage impeccable !
maria sur 13 janvier 2016 à 15h37 @ Adrien Pairraud Tu fais allusion à “un cliché documentaire” . Je dirai plutôt “de reportage” , ce cliché n’ ayant aucune visée “pédagogique” . Bien à toi.
ygonan sur 13 janvier 2016 à 17h43 Très belle photo. Dommage que nous n’ayons pas une légende : qui sont-elles ? Où sont elles? …
Tristan. sur 13 janvier 2016 à 19h03 Belle photo, au bon moment. Mais elle fait doublement hors du temps (scène et qualité). Est-ce le cas ? Assez demandeur aussi d’une légende…
maria sur 13 janvier 2016 à 19h07 Merci de vos passages. C’ est le village d’ Ursurari, en République moldave, où il n’ y a encore ni eau , ni électricité. Les roms peuplent presque entièrement ce village.
Monsieur HR sur 13 janvier 2016 à 22h31 Une vie qu’il semble falloir arracher à la misère ambiante mais peut être aussi la force d’un groupe ?
Estienne sur 14 janvier 2016 à 14h27 J’arrive un peu après la bataille pour confirmer les commentaires ci-dessus et saluer cette belle image humaniste !
JMLG sur 14 janvier 2016 à 15h41 Bonjour, Chez moi aussi, dans l’Ouest, en Haute Normandie, c’est gadoue et compagnie… Il y a même un puits, ou plutôt une citerne, c’est pour dire… Alors, “documentaire” ou pas ? “Reportage” ou pas ? Assurément non, juste une rencontre… et que c’est ce qu’il y a de plus difficile à mettre en image… Marie, encore une photo qui te ressemble. Belle journée.
Brigitte Ghilain sur 16 janvier 2016 à 14h39 Touchante de vérité. Une belle image qui raconte. Super Maria.
Loïs sur 25 janvier 2016 à 11h53 Une approche dont on sent «qu’elle apporte beaucoup de communications avec tes modèles» (je cite un commentaire précédant).
vous évoquiez l’empathie avec le sujet lors d’un précédent commentaire, il est particulièrement palpable ici. un cliché “documentaire” très réussi que vous nous proposez aujourd’hui : sujet peu commun, composition bien équilibrée et tirage argentine granuleux à souhait. et surtout quelle belle expression du visage …
comme j’aime vos photos.
Celle-ci comme d’autres, tsiganes, amoureux…Sorties du carton à chaussures, gondolées, cornées, et ces légers pincements au cÅ“ur, comme cela, pour rien, pour la photo, pour le souvenir…
Cette photo, ce regard, ces gestes, ce grain…
Très belle photo. Très narrative. On pense à d’autres évoquées sur les roms, l’Est plein de boue et de froid. Mais ça pourrait être aussi le Pilat, pour le climat au moins. Il y a un côté cinéma anglais des années 60. Ou allemand… J’aime beaucoup cette veine là !
magnifique!
une image sociale fort à propos!
Une réelle émotion entre le spectateur et la scène très bien rendue par un tirage impeccable !
Franche, sincère, sensible !
@ Adrien Pairraud
Tu fais allusion à “un cliché documentaire” .
Je dirai plutôt “de reportage” , ce cliché n’ ayant aucune visée “pédagogique” .
Bien à toi.
Quel regard “captivant” ! Superbe !
Très belle photo. Dommage que nous n’ayons pas une légende : qui sont-elles ? Où sont elles? …
Belle photo, au bon moment. Mais elle fait doublement hors du temps (scène et qualité). Est-ce le cas ?
Assez demandeur aussi d’une légende…
Merci de vos passages.
C’ est le village d’ Ursurari, en République moldave, où il n’ y a encore ni eau , ni électricité.
Les roms peuplent presque entièrement ce village.
Une vie qu’il semble falloir arracher à la misère ambiante mais peut être aussi la force d’un groupe ?
J’arrive un peu après la bataille pour confirmer les commentaires ci-dessus et saluer cette belle image humaniste !
Bonjour,
Chez moi aussi, dans l’Ouest, en Haute Normandie, c’est gadoue et compagnie… Il y a même un puits, ou plutôt une citerne, c’est pour dire…
Alors, “documentaire” ou pas ? “Reportage” ou pas ? Assurément non, juste une rencontre… et que c’est ce qu’il y a de plus difficile à mettre en image…
Marie, encore une photo qui te ressemble.
Belle journée.
Touchante de vérité. Une belle image qui raconte. Super Maria.
Une approche dont on sent «qu’elle apporte beaucoup de communications avec tes modèles» (je cite un commentaire précédant).