Jean Fraipont sur 15 dĂ©cembre 2015 Ă 23h03 C’est doux et rugueux Ă la fois, paradoxe qui ajoute Ă l’inquiĂ©tude des ombres figĂ©es. Pas pu retirer la boĂźte Ă tartines du seuil de fenĂȘtre ?
Patrick Hirtz sur 15 dĂ©cembre 2015 Ă 23h20 J’aime cette image, son traitement et comme le dit si bien Jean Fraipont c’est doux et rugueux …
adrien pairraud sur 16 dĂ©cembre 2015 Ă 10h04 Ă la diffĂ©rence de mes prĂ©dĂ©cesseurs, si comme eux je suis sĂ©duit par le sujet-composition, le traitement ne me convainc guĂšre … trop “bruyant” et non pas rugueux Ă mes yeux.
GBertrand sur 16 dĂ©cembre 2015 Ă 11h13 Merci vraiment pour vos commentaires. J’en ai âprofitĂ©â pour corriger cette image en diffĂ©rents points. Le rĂ©sultat est maintenant ici. Il peut ĂȘtre intĂ©ressant de savoir que la photographie d’origine a Ă©tĂ© prise une nuit Ă Rome depuis le trottoir vers le premier Ă©tage d”un immeuble oĂč apparaissaient ces bustes fantomatiques.
JLB sur 16 dĂ©cembre 2015 Ă 12h14 Ces simulacres, bien Ă l’abri derriĂšre leurs persiennes, ne s’intĂ©ressent guĂšre Ă nous, pauvres humains. Chaque visage semble regarder vers un point diffĂ©rent de l’espace. Le clair/obscur accentuĂ© de la version dĂ©finitive va bien Ă cette image.
Monsieur HR sur 16 dĂ©cembre 2015 Ă 18h05 6 personnages en quĂȘte de corps. Et (apparemment) sans artifice.
GBertrand sur 16 dĂ©cembre 2015 Ă 18h13 Huit mĂȘme, Monsieur HR ! L’oeil qui brille dans le noir, en bas Ă droite.
Monsieur HR sur 16 dĂ©cembre 2015 Ă 19h36 TrĂšs juste GB, en fait c’est celle du haut Ă droite qui m’avait Ă©chappĂ©. Suggestion: en rajoutant une demi tĂȘte, on s’Ă©loigne de Pirandello pour se rapprocher de Fellini (tout en restant dans une rĂ©fĂ©rence italienne).
GBertrand sur 16 dĂ©cembre 2015 Ă 19h42 Je retiens la suggestion. De plus, c’est une belle dĂ©finition pour une grille de mots croisĂ©s (en chiffres, bien sĂ»r !).
Jean Fraipont sur 16 dĂ©cembre 2015 Ă 22h12 C’est mieux ! C’est vrai que ce serait bien une image d’un film italien.
Tristan. sur 19 dĂ©cembre 2015 Ă 13h49 Je prĂ©fĂšre nettement la version sur ton site, trĂšs sympa. Mais la piĂštre qualitĂ© numĂ©rique…
Bien vu !
C’est doux et rugueux Ă la fois, paradoxe qui ajoute Ă l’inquiĂ©tude des ombres figĂ©es.
Pas pu retirer la boĂźte Ă tartines du seuil de fenĂȘtre ?
J’aime cette image, son traitement et comme le dit si bien Jean Fraipont c’est doux et rugueux …
Idem les coms ci-dessus… c’est tout bon.
Ă la diffĂ©rence de mes prĂ©dĂ©cesseurs, si comme eux je suis sĂ©duit par le sujet-composition, le traitement ne me convainc guĂšre … trop “bruyant” et non pas rugueux Ă mes yeux.
Merci vraiment pour vos commentaires.
J’en ai âprofitĂ©â pour corriger cette image en diffĂ©rents points.
Le résultat est maintenant ici.
Il peut ĂȘtre intĂ©ressant de savoir que la photographie d’origine a Ă©tĂ© prise une nuit Ă Rome depuis le trottoir vers le premier Ă©tage d”un immeuble oĂč apparaissaient ces bustes fantomatiques.
Ces simulacres, bien Ă l’abri derriĂšre leurs persiennes, ne s’intĂ©ressent guĂšre Ă nous, pauvres humains. Chaque visage semble regarder vers un point diffĂ©rent de l’espace. Le clair/obscur accentuĂ© de la version dĂ©finitive va bien Ă cette image.
Chouette compo.
6 personnages en quĂȘte de corps. Et (apparemment) sans artifice.
Zut, il y en a 7 !
Huit mĂȘme, Monsieur HR ! L’oeil qui brille dans le noir, en bas Ă droite.
TrĂšs juste GB, en fait c’est celle du haut Ă droite qui m’avait Ă©chappĂ©.
Suggestion: en rajoutant une demi tĂȘte, on s’Ă©loigne de Pirandello pour se rapprocher de Fellini (tout en restant dans une rĂ©fĂ©rence italienne).
Je retiens la suggestion.
De plus, c’est une belle dĂ©finition pour une grille de mots croisĂ©s (en chiffres, bien sĂ»r !).
C’est mieux ! C’est vrai que ce serait bien une image d’un film italien.
Je prĂ©fĂšre nettement la version sur ton site, trĂšs sympa. Mais la piĂštre qualitĂ© numĂ©rique…