Il est des photographes qu’on reconnait d’emblée à leur publication : tu en fais partie ! Et c’est toujours un plaisir de découvrir une nouvelle image : très beau carré toujours très doux, habillement composé avec ce catéchisme idéalement placé.
Monsieur HR
sur 14 novembre 2015 à 12h03
Je préférais la précédente publication. Ici, ce que laisse voir la fenêtre perturbe l’impression d’abandon qui est au principe de cette belle série.
Grains de sel
sur 14 novembre 2015 à 13h59
Merci Estienne et M.HR pour vos passages et le partage de vos ressentis.
Il y a pourtant beaucoup de détails (charnière cassée, carreau manquant, état du livre, du bâti de fenêtre, les grosses toiles d’araignée poussiéreuses) qui évoquent l’abandon dans cette prise de vue M.HR, la grange de la propriété à l’extérieur qui n’a plus de porteS en fait partie.
adrien pairraud
sur 15 novembre 2015 à 9h49
toujours agréablement surpris par vos publications, délicates et mettant en scène des lieux étonnants d’une grande poésie. celle-ci ne déroge pas à la règle, subtile et étrange …
comment dégotez-vous de pareils endroits ?
Grains de sel
sur 15 novembre 2015 à 17h17
Merci Adrien pour ton passage, pour les endroits, je prends la voiture et roule au hasard des routes que je n’ai jamais empruntées, parfois je tombe sur des pépites parfois je reste sur ma faim 🙂
Ce livre peut évoquer à certains un lointain passé qu’ils préfèrent oublier. Pour ma part j’apprécie l’image pour ce qu’elle montre de l’instant présent, abandon, douce lumière, temps suspendu,…
Il est des photographes qu’on reconnait d’emblée à leur publication : tu en fais partie ! Et c’est toujours un plaisir de découvrir une nouvelle image : très beau carré toujours très doux, habillement composé avec ce catéchisme idéalement placé.
Je préférais la précédente publication. Ici, ce que laisse voir la fenêtre perturbe l’impression d’abandon qui est au principe de cette belle série.
Merci Estienne et M.HR pour vos passages et le partage de vos ressentis.
Il y a pourtant beaucoup de détails (charnière cassée, carreau manquant, état du livre, du bâti de fenêtre, les grosses toiles d’araignée poussiéreuses) qui évoquent l’abandon dans cette prise de vue M.HR, la grange de la propriété à l’extérieur qui n’a plus de porteS en fait partie.
toujours agréablement surpris par vos publications, délicates et mettant en scène des lieux étonnants d’une grande poésie. celle-ci ne déroge pas à la règle, subtile et étrange …
comment dégotez-vous de pareils endroits ?
Merci Adrien pour ton passage, pour les endroits, je prends la voiture et roule au hasard des routes que je n’ai jamais empruntées, parfois je tombe sur des pépites parfois je reste sur ma faim 🙂
Tout fout le camp, et c’est très bien rendu !
Ce livre peut évoquer à certains un lointain passé qu’ils préfèrent oublier. Pour ma part j’apprécie l’image pour ce qu’elle montre de l’instant présent, abandon, douce lumière, temps suspendu,…
L’éternité du Très Bas. La grande vie, quoi !