Estienne sur 14 octobre 2015 à 16h40 Excellent ! Simple et à l’endroit le plus indiqué pour sa lecture !
adrien pairraud sur 14 octobre 2015 à 20h11 moins enthousiaste qu’Estienne, l’idée est excellente, la perspective déroutante mais la composition est presque trop rigoureuse.
Philippe Schalk sur 14 octobre 2015 à 21h00 merci à vous deux… ok adrien pairraud…la prochaine fois j’essayerai de moins bien cadrer…;-)
José Gomez sur 14 octobre 2015 à 22h26 Vous avez fait une bien belle photographie, je reste rêveur, devant la poésie qui émane de celle ci.
brigitte david sur 15 octobre 2015 Ã 7h42 La lecture, elle l’a surtout dans le dos. Et c’est ce que j’aimerais savoir … Ce qui se dit dans son dos!
José Gomez sur 15 octobre 2015 à 13h05 Il se dit beaucoup de choses dans son dos, les gens sont très médisant.
jg sur 16 octobre 2015 à 9h00 Comme des tampons d’imprimerie ce premier plan…Ca ne pouvait finir qu’en livre. 😉
Jean Fraipont sur 20 octobre 2015 à 11h49 Comme jg, le monument me fait penser à une ancienne table d’imprimerie. Beau rapprochement !
Matoufilou sur 10 novembre 2015 à 15h25 Il y a un côté poète des rues chez Philippe. Et souvent une forme de tendresse pour ce qui est regardé qui est très plaisante. J’aime ici le jeu du minéral et du spirituel. Ce meuble de pierre est un bel accoudoir de solitude.
Excellent ! Simple et à l’endroit le plus indiqué pour sa lecture !
moins enthousiaste qu’Estienne, l’idée est excellente, la perspective déroutante mais la composition est presque trop rigoureuse.
merci à vous deux…
ok adrien pairraud…la prochaine fois j’essayerai de moins bien cadrer…;-)
Vous avez fait une bien belle photographie, je reste rêveur, devant la poésie qui émane de celle ci.
merci José…;-)
La lecture, elle l’a surtout dans le dos. Et c’est ce que j’aimerais savoir … Ce qui se dit dans son dos!
Il se dit beaucoup de choses dans son dos, les gens sont très médisant.
Comme des tampons d’imprimerie ce premier plan…Ca ne pouvait finir qu’en livre. 😉
Comme jg, le monument me fait penser à une ancienne table d’imprimerie. Beau rapprochement !
Il y a un côté poète des rues chez Philippe. Et souvent une forme de tendresse pour ce qui est regardé qui est très plaisante. J’aime ici le jeu du minéral et du spirituel. Ce meuble de pierre est un bel accoudoir de solitude.