Monsieur HR sur 7 février 2015 à 18h49 Les eaux noires tourbillonnantes … et les cailloux effroyables: une ambiance propice aux naufrages. Une image qui semble sortie de nos cerveaux reptiliens.
martinne sur 7 février 2015 à 19h13 Le traitement fait bien ressentir l’ambiance angoissante, pourtant j’aurais bien aimé la voir avec un peu plus de luminosité.
Estienne sur 7 février 2015 à 21h34 Non, pas plus de lumière ! Extraordinaire ambiance avec l’angoisse de tous les marins, les “eaux noires tourbillonnantes” dont parle Mr HR … splendide ! Une photo que j’aurai aimé faire, je n’ai pas de meilleur compliment. Bravo !
Mowgli sur 7 février 2015 à 23h25 Séduisante composition avec le temps de pose adéquate qui oppose bien le noir des rochers au blanc de l’écume.
jb81 sur 8 février 2015 à 9h06 Le flou de l’écume est parfait, les tons sont superbes et la compo bien équilibrée. Bravo!
Henri sur 8 février 2015 à 9h33 Superbes ces eaux noires, avec une matière qui évoque pour moi le feu plus que l’eau et pourtant je ne suis pas fan des poses longues en général.
OlivMo sur 8 février 2015 à 10h53 Soir de tempête à la baie des trépassés… Magnifique, Brrrr, ça l’fait !
brigitte david sur 8 février 2015 à 21h55 Me trompe-je? J’avais vu le blanc plus blanc… On entend même le fracas des vagues et le roulis des galets…
Estienne sur 11 février 2015 à 8h47 Je trouve l’image superbe et j’imagine l’instant de crépuscule au bord de l’océan qui l’a généré : ce sont ces deux raisons qui me font rêver de l’avoir faite (et peut-être plus la seconde) !
JLB sur 12 février 2015 à 16h56 Henri: le rapprochement très “bachelardien” de l’eau et du feu me plaît beaucoup! Le temps de pose tourne autour d’une seconde. Au-delà de 3 ou 4 secondes on obtient un brouillard cotonneux et immobile, ce qui serait un contre-sens. Estienne: Je tente de concentrer l’instant dans l’image (la tempête, le crépuscule, la nuit, la solitude, et autres sensations et émotions…). On pourrait aussi mettre des mots là -dessus: ce n’est pas ici le lieu mais l’extrait de Balzac cité ici, pourrait en être l’introduction. Merci à tous pour vos commentaires.
Estienne sur 12 février 2015 à 19h15 Tu aurais pu citer ici Balzac, le rapprochement du texte et l’image me semble très juste ! Merci pour ce voyage au crépuscule dans les vents salés de l’océan !
Les eaux noires tourbillonnantes … et les cailloux effroyables: une ambiance propice aux naufrages. Une image qui semble sortie de nos cerveaux reptiliens.
Le traitement fait bien ressentir l’ambiance angoissante, pourtant j’aurais bien aimé la voir avec un peu plus de luminosité.
Non, pas plus de lumière ! Extraordinaire ambiance avec l’angoisse de tous les marins, les “eaux noires tourbillonnantes” dont parle Mr HR … splendide ! Une photo que j’aurai aimé faire, je n’ai pas de meilleur compliment. Bravo !
Séduisante composition avec le temps de pose adéquate qui oppose bien le noir des rochers au blanc de l’écume.
Le flou de l’écume est parfait, les tons sont superbes et la compo bien équilibrée. Bravo!
Superbes ces eaux noires, avec une matière qui évoque pour moi le feu plus que l’eau et pourtant je ne suis pas fan des poses longues en général.
Excellente photo.
superbe…;-)
Les Hauts de Hurlevent. Magnifique!
Soir de tempête à la baie des trépassés… Magnifique, Brrrr, ça l’fait !
Il y a de l’Histoire simple dans ces Eaux noires !
😉
Inspiré et bien maîtrisé!
Me trompe-je? J’avais vu le blanc plus blanc… On entend même le fracas des vagues et le roulis des galets…
Non, je n’ai rien modifié.
Je trouve l’image superbe et j’imagine l’instant de crépuscule au bord de l’océan qui l’a généré : ce sont ces deux raisons qui me font rêver de l’avoir faite (et peut-être plus la seconde) !
Henri: le rapprochement très “bachelardien” de l’eau et du feu me plaît beaucoup! Le temps de pose tourne autour d’une seconde. Au-delà de 3 ou 4 secondes on obtient un brouillard cotonneux et immobile, ce qui serait un contre-sens.
Estienne: Je tente de concentrer l’instant dans l’image (la tempête, le crépuscule, la nuit, la solitude, et autres sensations et émotions…). On pourrait aussi mettre des mots là -dessus: ce n’est pas ici le lieu mais l’extrait de Balzac cité ici, pourrait en être l’introduction.
Merci à tous pour vos commentaires.
Tu aurais pu citer ici Balzac, le rapprochement du texte et l’image me semble très juste ! Merci pour ce voyage au crépuscule dans les vents salés de l’océan !