blagapart sur 29 janvier 2015 à 19h33 Assez obscène, mais j’aime beaucoup. A part le cadre/vignettage noir.
Henri sur 29 janvier 2015 à 20h19 Ce n’est pas sans rappeler “L’origine du monde” . Une érosion très érotique … et avec cette lumière on est pas loin de penser aussi à Clergue et à ces nus. http://p0.storage.canalblog.com/02/53/704854/49102628_p.jpg Le vignetage ne me gêne pas vraiment , mais je l’aurai peut être dilué un peu plus .
Globelus sur 29 janvier 2015 à 20h56 Très obscène, comme quoi notre cerveau nous joue des tours ! Personnellement, j’aime.
bolerophoto sur 29 janvier 2015 à 21h09 Belle édition et cadrage au cordeau. Si c’est L’Origine du monde, alors E.T. est parmi nous… Je pencherais plutôt pour une vision très influencée par Dalì de la tortue des Galapagos ! 😉
Estienne sur 29 janvier 2015 à 23h44 Érosion érotique ! ‘Où cela , de l’obscénité ?) Ces courbes soulignées par la ligne claire sont magnifiques, et si les formes sont un peu amples, elles réveillent des rêves de caresses … Et je conserve aussi ce vignettage inhabituel qui encadre superbement tous les fantasmes qui s’expriment ici !!! 😉
Monsieur HR sur 30 janvier 2015 à 10h32 Coït minéral dans la pénombre. Discrétion assurée pour l’éternité.
JLB sur 30 janvier 2015 à 17h32 Merci à tous pour vos réactions. Dans la série, j’avais choisi une photo suggestive mais je ne pensais pas que c’était à ce point! Suggestive donc, érotique, pourquoi pas, obscène je ne le pense pas. J’ai photographié le même endroit 2 jours plus tôt (photo 7), à la même heure, sous un ciel gris et un point de vue différent, et c’est une toute autre image (je n’ai pas pu me résoudre à choisir, j’ai gardé les 2). Toutes les photos rassemblées autour de celle-ci évoquent le monde organique, le corps en premier. Henri: très belle photo de Clergue! Bolerophoto: Dali m’a toujours un peu donné la nausée, je préfère revendiquer l’influence d’Henry Moore dont l’Å“uvre oscille en permanence entre la chair, l’os et le minéral, en particulier de ses dessins que j’ai eu en tête très tôt en parcourant l’estran pour cette série. Blagapart: J’assume le vignettage, un élément de vocabulaire qui sert mon propos pour certaines séries, dans le sujet qui m’occupe en ce moment. Bonne soirée à tous.
bolerophoto sur 31 janvier 2015 à 19h39 Citer ne signifie pas nécessairement réverer mais, autant pour moi, le rapprochement fait en réponse à celui d’Henri était trop vague. En fait je pensais au principe de déformation dans la Persistance de la mémoire du peintre catalan. 😉
JLB sur 1 février 2015 à 11h12 A Bolerophoto: J’avoue que ma réaction spontanée était un peu “épidermique”. D’autant plus qu’à la réflexion, le rapprochement me semble assez évident: Dali donne une présence concrète à ses fantasmes de formes molles en utilisant les moyens classiques de la représentation, modelé par des ombres, ombres portées, fort contraste, mise en perspective; c’est aussi le cas dans cette photo ou les volumes sont accentués par la lumière rasante et qui a été prise au ras du sable pour perturber l’échelle et suggérer la profondeur d’un paysage, un espace plus vaste qu’il ne l’est en réalité. PS. En ce qui concerne Henry Moore, je pensais à ces dessins.
Assez obscène, mais j’aime beaucoup.
A part le cadre/vignettage noir.
Ce n’est pas sans rappeler “L’origine du monde” . Une érosion très érotique … et avec cette lumière on est pas loin de penser aussi à Clergue et à ces nus.
http://p0.storage.canalblog.com/02/53/704854/49102628_p.jpg
Le vignetage ne me gêne pas vraiment , mais je l’aurai peut être dilué un peu plus .
Très obscène, comme quoi notre cerveau nous joue des tours ! Personnellement, j’aime.
Belle édition et cadrage au cordeau.
Si c’est L’Origine du monde, alors E.T. est parmi nous…
Je pencherais plutôt pour une vision très influencée par Dalì de la tortue des Galapagos !
😉
Érosion érotique ! ‘Où cela , de l’obscénité ?) Ces courbes soulignées par la ligne claire sont magnifiques, et si les formes sont un peu amples, elles réveillent des rêves de caresses … Et je conserve aussi ce vignettage inhabituel qui encadre superbement tous les fantasmes qui s’expriment ici !!! 😉
Coït minéral dans la pénombre. Discrétion assurée pour l’éternité.
Très belle composition, avec une qualité de tirage “palpable”
Merci à tous pour vos réactions.
Dans la série, j’avais choisi une photo suggestive mais je ne pensais pas que c’était à ce point! Suggestive donc, érotique, pourquoi pas, obscène je ne le pense pas. J’ai photographié le même endroit 2 jours plus tôt (photo 7), à la même heure, sous un ciel gris et un point de vue différent, et c’est une toute autre image (je n’ai pas pu me résoudre à choisir, j’ai gardé les 2). Toutes les photos rassemblées autour de celle-ci évoquent le monde organique, le corps en premier.
Henri: très belle photo de Clergue!
Bolerophoto: Dali m’a toujours un peu donné la nausée, je préfère revendiquer l’influence d’Henry Moore dont l’Å“uvre oscille en permanence entre la chair, l’os et le minéral, en particulier de ses dessins que j’ai eu en tête très tôt en parcourant l’estran pour cette série.
Blagapart: J’assume le vignettage, un élément de vocabulaire qui sert mon propos pour certaines séries, dans le sujet qui m’occupe en ce moment.
Bonne soirée à tous.
Une belle illustration d’antropomorphisme minéral …
Citer ne signifie pas nécessairement réverer mais, autant pour moi, le rapprochement fait en réponse à celui d’Henri était trop vague. En fait je pensais au principe de déformation dans la Persistance de la mémoire du peintre catalan.
😉
A Bolerophoto: J’avoue que ma réaction spontanée était un peu “épidermique”. D’autant plus qu’à la réflexion, le rapprochement me semble assez évident: Dali donne une présence concrète à ses fantasmes de formes molles en utilisant les moyens classiques de la représentation, modelé par des ombres, ombres portées, fort contraste, mise en perspective; c’est aussi le cas dans cette photo ou les volumes sont accentués par la lumière rasante et qui a été prise au ras du sable pour perturber l’échelle et suggérer la profondeur d’un paysage, un espace plus vaste qu’il ne l’est en réalité.
PS. En ce qui concerne Henry Moore, je pensais à ces dessins.
Gonflée quand même!