On les méprise parfois, sur le bord du chemin pour admirer le paysage qu’elles encadrent. Quelle injustice !




Pierre Grave

Passionné de photo depuis de très nombreuses années J’ai une prédilection pour la pureté dépouillée du noir et blanc. Il m’arrive encore d’exposer et de scanner une pellicule argentique avec beaucoup de plaisir mais je pratique désormais essentiellement le numérique avec des appareils hybrides. Mes suets de prédilection sont les paysages de mon jura d’adoption mais j’aime aussi, en ville, pratiquer la photo de rue. Les salles et terrasses, les portes et fenêtres ou les concerts de jazz font aussi partie de mes sujets favoris. Pour moi la photo est un moyen de mémoriser l’instant, d’écrire par l’image, pour tout dire, de manière immodeste et utopique, de laisser derrière moi une petite trace de ma personne.
4 Commentaires
  1. Entièrement d’accord avec ce constat .
    Pour ce qui est de la photo , peut être que le paysage est encore un peu trop présent, et enlève un peu la vedettes à ces herbes folles .

    Je m’assieds sur la beauté
    De quelques herbes en train de se dessécher
    (Santoka TANEDA)

  2. Je pense, comme Henri, qu’il doit être possible de mettre en valeur en jouant sur les tons clairs ces belles herbes folles…c’est bien vu!

  3. C’est vrai que même sans le ciel c’est très beau, peut être davantage ?

  4. Un peu plus de contraste … et il est vrai aussi que le paysage reste ici trop présent !

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