Première version : ici
Version de blagapart :
Merci de vos retours.




bolerophoto

Ça vous gratouille ou ça vous chatouille
29 Commentaires
  1. J’aime beaucoup cette idée, mais la réalisation ne me convainc pas. le petit rai de lumière sur le visage, je trouve que c’est trop ou pas assez. Et la bande de lumière dans le bas de la photo la rend moins lisible, à mon avis.
    Mais c’est impressionnant !

  2. Il y a une photo de Vivian Mayer où les personnages semblent avoir perdu leur ombre, ici, c’est l’inverse, un seul personnage pour six ou sept ombres où donc se cachent leurs propriétaires ?

  3. Merci de vos retours. Je suis embêté par le sens de lecture de cette image, et enquiquiné par ces rais de lumière !
    La prise initiale est visible : ici.

  4. @ Monsieur HR = Les propriétaires, comme vous les nommez, bouclaient ce dimanche une visite éclair de Montmartre Sacré Cœur et la lumière était près d’aller entamer un autre tour d’horizon…
    Je me suis trompé de lien pour la prise originale, qui est visible ici
    😀

    @ Blagapart = Merci de votre envoi. Je suis étonné par la rapidité de votre proposition, et sa qualité, de plus sur un fichier aussi réduit…

  5. Je préfère la version amb. La version Blagapart a un côté interrogation gestapiste. Parlez vous êtes cerné! Les ombres d’amb peuvent être celles d’un après-midi d’été.
    Surprise néanmoins de votre radicalité dévastatrice Blagapart!

  6. @ Brigitte David = “Gestapiste” me paraît bien hors de propos !
    :mrgreen:
    Au surplus, le visage semble plus apaisé dans cette version…

  7. Oui, mais je ne trouvais pas les mots pour dire un projo dans la figure. C’est mieux? Mes excuses à l’intéressé pour cet abus de langage. Je revois les deux versions. Je persiste dans mon appréciation. La bande de lumière en bas de ta photo délimite la scène. Les ombres y paraissent sans sujet. Quelque chose coupe les sujets de leur ombre. On peut préférer une simplification, une épure.
    Je supporte cette plus-value de mystère.

  8. Dans la version “Blagapart”, j’apprécie l’extraction de la fillette. Mais le reste de l’image est meilleure chez AMB … Pas facile de faire la synthèse ! 😉

  9. @ Estienne = Trois versions + 1 pour aujourd’hui, c’est le cas de le dire !
    😉

    @ Brigitte David = Je préfère nettement cette seconde formulation, qui explicite beaucoup mieux votre sentiment.

    Merci de vos commentaires !

  10. @ amb. Une dernière couche et j’arrête. mais ça expliquera mon trébuchement … La version de Blagapart m’évoque certaines photos de la guerre d’Espagne, écrasée de soleil, presque jusqu’à l’effacement. Sorry !

  11. Je préfère la première version inversée qui beaucoup plus net et avec de très belles tonalités.

  12. La version de Blagapart a le mérite de mieux montrer la petite fille mais elle trop crue dans ses tons.

  13. Belle image et titre qui ajoute un plus certain. Grosse préférence pour la version amb LVG. Si je tentais une interprétation, ma proposition serait je crois de descendre encore un peu la luminosité du mur ce qui permettrait de mieux distinguer le visage de cette jeune fille…

  14. Merci à vous deux !
    Après un petit repos sur cet instantané, je verrais quel parti adopter…
    😉

  15. Qu’elle sera la dernière version de l’auteur?
    Je pense qu’il suffit de déboucher les ombres, en résumé le niveau de contraste de l’original!

  16. J’opte pour la coupe de blagapart mais par contre je garde le traitement d’alain michel et la version non inversée.

  17. C’est bizarre mais elle me fait penser à la photo très connue d’HCB, celle d’un jeune handicapé dans les ruines de la guerre civile espagnole.

  18. Un côté Benjamin Button !

  19. Du même avis que Cormac ! On est tous d’accord pour dire que la version de amb à un tirage de meilleur qualité mais le sujet n’est pas là. J’aurai aussi supprimé cette bande de lumière.

  20. Merci de vos avis.

    @ raphael = blagapart a travaillé à partir de l’édition publiée ici, et pour m’être escrimé sur l’original, je peux dire que je lui tire mon chapeau… Mais vous avez raison, l’essentiel n’est peut-être pas là. La bande de lumière dans les deux sens de lecture est impérative, elle définit le théâtre ce cette lumière rasante qui projette les ombres aussi crûment. Ensuite, je reconnais que l’on peut discuter sur le niveau de lisibilité de la jeune fille. En réalité, c’est le contraste entre cette théorie d’ombres et deux personnages en chair et en os pouvant s’en extraire qui a attiré mon regard. Comme le lieu de la prise de vue est sur un flanc de l’église du Sacré-Cœur à Montmartre, soit un des endroits les plus fréquentés surtout par un dimanche ensoleillé, tout s’est passé très vite… C’est au dérushage sur un grand écran que j’ai vu l’expression boudeuse, voire contrariée, de l’enfant. Puis aussi que j’étais resté sur une sensibilité de 400 ISO, correspondant à ma précédente prise de vue effectuée dans une ruelle plus sombre… Bref !
    😀

    @ cornac = Reflexion faite, la version non inversée mise en premier lien a toutes ses chances. À un moment le doute m’est venu sur le caractère un peu négatif du sens de ces ombres en terme de sémiologie de l’image.

    Sur la photo de Cartier-Bresson que tu évoques, je trouve deux références. L’une à Séville, l’autre à Valence.

    @ Ben = On voit que le sens de lecture a son importance pour la filmographie !
    😀

    @ jb81 = Heureusement que je n’ai fait qu’une seule prise de cet instant…
    😉

  21. C’est celle de Valence à laquelle je pensais, mais en fait dans ma tête ça s’est brouillé avec une autre image qui n’est peut être pas d’HCB, avec un enfant en béquille, qui passe à travers un trou dans un mur. Je vais essayé de la retrouver.

  22. C’est celle !

    En fait j’ai mixé les deux dans ma tête, des fois la mémoire et les images ça fait des mélanges intéressants.

  23. Ben voilà… la Guerre d’Espagne… Nous sommes d’accord!

  24. Les murs Parisiens ont connu les mêmes horreurs que les murs Espagnols mais une soixantaine d’années plus tôt. Mais c e ne sont pas des fantômes que j’ai vu ou pas voulu voir) sur la photo d’amb.

  25. Hélas il n’y avait pas de de Cartier Bresson durant La Commune. Même si il existe des plaques fort belle de cette tragique mais magnifique expérience d’autogestion populaire.

  26. @ Cormac = Par rapport au mur, je pensais vraiment que tu parlais de celle de Valence, mais dans le même temps l’enfant en béquille est bien celle que tu viens de citer…
    Je crois que la confusion est entretenue par le fait que HCB a pris beaucoup de clichés de ces scènes de jeux d’enfants au beau milieu de quartiers dévastés, et ces photos sont sorties peu à peu. Il n’y a vraiment que depuis l’édition de son scrap-book, dont il a toujours jalousement interdit l’accès de son vivant, que l’on réalise à quel point ce que l’on croyait être une rencontre fortuite entre le sujet le cœur et l’objectif était assez souvent très minutieusement préparé par un travail d’approche. Ce qui n’enlève d’ailleurs rien à la force des images produites !

    @ Brigitte David et Monsieur HR = Pour le rapprochement avec la Commune de Paris, je précise quand même que ce n’est pas le mur des Fédérés, mais celui de la cure du Sacré-Cœur !
    😀

    Merci de votre intérêt.

  27. Enfin, après quelques jours de reflexion, une nouvelle édition de Généalogie…
    😉

  28. “Photographier c’est mettre sur la même ligne de mire la tête, l’œil et le cœur” disait Henri Cartier-Bresson.

    De la fin des années 1920 à l’orée du 21ème siècle, le photographe s’est évertué à respecter ce principe de vie et de vue…
    Exposition au Centre Pompidou

  29. @ Jeannot = C’est vraiment gentil d’avoir pensé à moi…
    🙂

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