jg sur 21 novembre 2013 à 15h20 Amusant de tomber sur cette belle image, je pensais justement ces derniers jours à une approche de l’eau… y’a des signes, moi j’dis. 😉
Henri sur 21 novembre 2013 à 17h51 Superbe! C’est léger et poétique. Moi qui viens de relire “Éloge de l’ombre” de Tanizaki, je ne peux pas m’empêcher de penser à sa merveilleuse description des lieux d’aisance.
Henri sur 21 novembre 2013 à 21h29 C’est un vrai compliment de ma part ,que ta photo me fasse penser à ce pur moment de poésie. “…où l’on a ménagé,au ras du plancher, des ouvertures étroites et longues pour chasser les balayures ,de telle sorte que l’on peut entendre ,tout proche ,le bruit apaisant des gouttes qui, tombant du bord de l’auvent ou des feuilles d’arbres, éclaboussent le pied des lanternes de pierre, imprègnent la mousse des dalles avant que ne les éponge le sol… Aussi n’est-il pas impossible de prétendre que c’est dans la construction des lieux d’aisance que l’architecture japonaise atteint aux sommets du raffinement.”
brigitte david sur 22 novembre 2013 à 8h52 Une exploration de l’abstraction aux frontières du réel. Saisir la pluie au niveau de l’impact au sol c’est sans doute le seul moyen de la visualiser. Beau contraste entre la matérialité de la boue et les trajectoires de la pluie. Bravo!
amb sur 22 novembre 2013 à 9h40 Très fin pour une pluie d’orage ! Un léger manque de contraste, peut-être, pour chipoter… 😉
Estienne sur 22 novembre 2013 à 16h21 @ AMB : une bonne question ! Contraste ou pas ? J’ai finalement choisi ce niveau pour ne pas faire disparaitre les traces les plus lointaines. En fait, le contraste est très variable en fonction des différents plans. Mais est-ce la meilleure solution ???
Raphael sur 24 novembre 2013 à 13h56 je me joins aux commentaires précédents! cette photo est très poétique!
Amusant de tomber sur cette belle image, je pensais justement ces derniers jours à une approche de l’eau… y’a des signes, moi j’dis. 😉
Jolie chorégraphie minuscule.
Subtile mise en image de la physique amusante.
Superbe! C’est léger et poétique.
Moi qui viens de relire “Éloge de l’ombre” de Tanizaki, je ne peux pas m’empêcher de penser à sa merveilleuse description des lieux d’aisance.
J’aime beaucoup ton rapprochement, Henri ! 😉
Bien d’accord avec tous les commentaires précédents!
Cette belle pluie N&B donne envie de chanter !!!
C’est un vrai compliment de ma part ,que ta photo me fasse penser à ce pur moment de poésie.
“…où l’on a ménagé,au ras du plancher, des ouvertures étroites et longues pour chasser les balayures ,de telle sorte que l’on peut entendre ,tout proche ,le bruit apaisant des gouttes qui, tombant du bord de l’auvent ou des feuilles d’arbres, éclaboussent le pied des lanternes de pierre, imprègnent la mousse des dalles avant que ne les éponge le sol…
Aussi n’est-il pas impossible de prétendre que c’est dans la construction des lieux d’aisance que l’architecture japonaise atteint aux sommets du raffinement.”
Je comprends mieux, merci Henri !
🙂 c’est vraiment à lire et à relire …
Une exploration de l’abstraction aux frontières du réel.
Saisir la pluie au niveau de l’impact au sol c’est sans doute le seul moyen de la visualiser. Beau contraste entre la matérialité de la boue et les trajectoires de la pluie. Bravo!
Très fin pour une pluie d’orage !
Un léger manque de contraste, peut-être, pour chipoter…
😉
@ AMB : une bonne question ! Contraste ou pas ? J’ai finalement choisi ce niveau pour ne pas faire disparaitre les traces les plus lointaines. En fait, le contraste est très variable en fonction des différents plans. Mais est-ce la meilleure solution ???
magnifique !!!
Du grand Art, une véritable symphonie.
je me joins aux commentaires précédents! cette photo est très poétique!