J’aurais bien aimé la voir avec la mise au point au centre de la photo sur l’arbre. Mais cela apporterait une autre lecture. Moins “douce” certainement.
Ben et Brigitte, je vous proposais une image qui me semblait apaisante du net vers le flou. 😉
Et celles-ci du même endroit (moi aussi j’ai eu un doute) vous la préférez comment 1 ou 2 ?
raphael
sur 3 juillet 2013 à 16h18
l´idée d´un montage avec les 2 images combinées me plait bien 😉
brigitte david
sur 3 juillet 2013 à 17h06
Le flou appliqué à l’architecture ne me paraît pas un bon plan. Donc la 2. C’est moins gênant que le lieu d’où l’on photographie reste incertain. C’est quand même ce que l’on regarde qui importe.
(De l’avantage de photographier avec un tel. portable… On ne peut pas s’aventurer sur ce genre de subtilités… )
Henri
sur 3 juillet 2013 à 17h28
Tu as déjà publié une autre photo du même lieu ( https://www.lavieengris.com/?p=29792 ) où cette impression d’être entre rêve et réalité était déjà présente.
C’est comme dans une méditation où on voit ce qui nous entoure sans porter une attention particulière à quoique se soit, juste être là…
@Brigitte, sans doute d’accord avec toi pour l’architecture bien que ma réflexion en cette matière soit des plus misérable, pour l’image au dessus le sujet est la lumière et l’espace ouvert complètement ou incomplètement a son passage.
Je ne dirais rien de plus sur les téléphones portables, le mien ne fait pas de photo.
Quelle mémoire Henri. C’est au même endroit à Boulogne-Billancourt, dans le jardin Albert Kahn, à voir et à revoir selon les saisons; merci de ton ressenti et Arigato Gozaimasu à tous.
François Cardi
sur 3 juillet 2013 à 18h08
Le flou va bien à ce genre de photo, très loin d’une simple photographie d’architecture: il fait naître une sorte de mystère qui annonce une absence assez étrange.
Le jardin d’Albert Khan, le Japon à Boulogne Billancourt, un lieu très beau et très reposant. Quant à la photo, elle ne m’émeut pas plus que ça. Il me manque quelque chose, un sujet; la lumière ne remplissant pas assez ce rôle ici. Le lien d’Henri me procure davantage de plaisir. Je la connaissais pour l’avoir vu à l’époque, mais je n’aurai pas pu faire le lien sans la mémoire hallucinante de notre cher Henri 😉
Du Raynaud à la japonaise… 😉
Du japonais photofloue (même icône qu’Irène) On est dans un roman d’Inoué. Le Voyage à Tokyo et le Goût du saké ressortent ici.
Pureté des formes, douceur des gris. Arigato Gozaimasu 🙂
Un très beau sujet traité tout en douceur : superbe !
J’aurais bien aimé la voir avec la mise au point au centre de la photo sur l’arbre. Mais cela apporterait une autre lecture. Moins “douce” certainement.
Et une version sans le flou?
Ben et Brigitte, je vous proposais une image qui me semblait apaisante du net vers le flou. 😉
Et celles-ci du même endroit (moi aussi j’ai eu un doute) vous la préférez comment 1 ou 2 ?
l´idée d´un montage avec les 2 images combinées me plait bien 😉
Le flou appliqué à l’architecture ne me paraît pas un bon plan. Donc la 2. C’est moins gênant que le lieu d’où l’on photographie reste incertain. C’est quand même ce que l’on regarde qui importe.
(De l’avantage de photographier avec un tel. portable… On ne peut pas s’aventurer sur ce genre de subtilités… )
Tu as déjà publié une autre photo du même lieu ( https://www.lavieengris.com/?p=29792 ) où cette impression d’être entre rêve et réalité était déjà présente.
C’est comme dans une méditation où on voit ce qui nous entoure sans porter une attention particulière à quoique se soit, juste être là…
@Brigitte, sans doute d’accord avec toi pour l’architecture bien que ma réflexion en cette matière soit des plus misérable, pour l’image au dessus le sujet est la lumière et l’espace ouvert complètement ou incomplètement a son passage.
Je ne dirais rien de plus sur les téléphones portables, le mien ne fait pas de photo.
Quelle mémoire Henri. C’est au même endroit à Boulogne-Billancourt, dans le jardin Albert Kahn, à voir et à revoir selon les saisons; merci de ton ressenti et Arigato Gozaimasu à tous.
Le flou va bien à ce genre de photo, très loin d’une simple photographie d’architecture: il fait naître une sorte de mystère qui annonce une absence assez étrange.
Merci François, j’aime l’idée du matin, du calme et peut-être l’espérance d’une présence…
@Brigitte, finalement la 2 pour moi aussi.
Le jardin d’Albert Khan, le Japon à Boulogne Billancourt, un lieu très beau et très reposant. Quant à la photo, elle ne m’émeut pas plus que ça. Il me manque quelque chose, un sujet; la lumière ne remplissant pas assez ce rôle ici. Le lien d’Henri me procure davantage de plaisir. Je la connaissais pour l’avoir vu à l’époque, mais je n’aurai pas pu faire le lien sans la mémoire hallucinante de notre cher Henri 😉
@Hervé: La 2 pour moi!