Extraordinaire scène de rue, je ne sais pourquoi elle m’évoque une exécution, quelque chose de mortifère. Comment était la musique ?
Le placement et le cadrage sont parfaits, même si je l’aurais bien vu plus recentré (la valise ouverte en moins).
On se demande ce qu’il joue…
Tout est délicieusement bancal dans cette image !
Et ces trous dans le mur, comme la carte perforée d’un orgue de barbarie !
🙂
brigitte david
sur 23 juin 2013 à 10h16
Ah… Mon com s’est encore volatilisé… Je parlais du Graph… Dwarfs… Nains…
François Cardi
sur 24 juin 2013 à 15h58
A Prague, et même en hiver sous la neige, on joue du Mozart! C’était dans la montée vers le château, après la traversée du Pont Charles. Le musicien joue sans partition. On n’entend pas le son du violon, on le devine. C’est vrai qu’il y a plein d’angles, de déséquilibre et que le bancal ne tue pas la photographie.
j’aime vraiment beaucoup…;-)
Flocons blancs sur vêtements noirs, flocons noirs sur mur blanc, violoniste de rue, ce n’est pas une sinécure.
Extraordinaire scène de rue, je ne sais pourquoi elle m’évoque une exécution, quelque chose de mortifère. Comment était la musique ?
Le placement et le cadrage sont parfaits, même si je l’aurais bien vu plus recentré (la valise ouverte en moins).
Une photo de rue comme je les aime tout est bien à sa place.
@+
Bel ironie dans le titre! Et belle photo bien sûr!
Bonne photo, où chaque chose est à sa place
itou, réussie cette photo! F
Belle photo, juste le point blanc bord cadre à gauche à retirer au bout du parapluie.
On se demande ce qu’il joue…
Tout est délicieusement bancal dans cette image !
Et ces trous dans le mur, comme la carte perforée d’un orgue de barbarie !
🙂
Ah… Mon com s’est encore volatilisé… Je parlais du Graph… Dwarfs… Nains…
A Prague, et même en hiver sous la neige, on joue du Mozart! C’était dans la montée vers le château, après la traversée du Pont Charles. Le musicien joue sans partition. On n’entend pas le son du violon, on le devine. C’est vrai qu’il y a plein d’angles, de déséquilibre et que le bancal ne tue pas la photographie.