21 Commentaires
  1. J’aime le format, la composition et cette vie parallèle qui trace sa route…

  2. Une contreplongée du quai de la Tournelle en format marine, pourquoi pas ? Comme OlivMo, j’aime la composition un peu déjantée, vivante. En revanche
    le choix de laisser une plaque coupée en plus des graffitis hyper visibles noient le parti pris positif du cadrage. Cela ne valait-il pas la peine d’un petit nettoyage, afin de faire coïncider vie moderne et perspectives grand-angulaires…
    😉

  3. La même, une seconde avant pour que le cycliste-petit-personnage ne se confonde pas avec l’avant de la péniche … autrement, j’aime bien ce cadrage en grand-angulaire !

  4. Oui pour le coup vraiment très petit !

  5. Les critiques formelles ont bien sûr leurs raisons, mais ces petits personnages arrachés au néant (parfois de justesse) nous procurent toujours un ravissement précieux. On les attend toujours avec délectation.

  6. C’est l’une de mes préférées avec la 3 et la 7! D’accord sur le cadrage intéressant. Au sujet des graffitis, c’est vrai que le regard se baladerait mieux sans mais cela fait aussi partie de cette photo! A l’appréciation du photographe de la retoucher ou de la laisser comme telle!

  7. Le Petit personnage continue de nous emmener en promenade… et on continue à le suivre avec délectation!!!… J’apprécie ce premier plan aux graffitis, le voyage est double, on quitte l’espace urbain pour les bords de Seine empreints d’une autre atmosphère, plus proche de la nature… Encore une belle photo!!!… 🙂

  8. La partie à droite de l’arbre est de trop pour moi. Mais ce n’est que mon avis! 😉 Sinon, série intéressante!

  9. Merci pour tous vos commentaires.
    Je suis particulièrement d’accord avec Estienne, sur la seconde (ou même la demi seconde): c’est tout le risque de l’instant. J’ai bien essayé, au tirage, de dégager un peu la tête du petit personnage du fond de la péniche; il ne se laisse pas faire!. Il avait alors une sorte d’auréole qui faisait de lui une sorte de saint (de Seine) qui n’allait pas dans le paysage. J’ai donc été renvoyé à la rage d’avoir manqué la demi seconde…et à votre indulgence à tous.

  10. Photoshop, François, photoshop…

  11. J’aime autant pouvoir dire que François était à 2 doigts d’avoir pris le petit personnage pile où il fallait que de pouvoir m’extasier sur sa capacité à tripatouiller photoshop, la machine à calques.

  12. Hervé, une superbe machine à calques, surtout les calques de réglages à colorier ! 😉

  13. Profitant de l’attention centrée sur ce saint cycliste, un petit diable bibliophile s’est glissé au bord du cadre.

  14. @Mr HR: Vous ne vous seriez pas extasié sur l’habileté à “tripatouiller”, puisque le “tripatouillage” n’aurait pas été visible. L’image aurait juste était celle que désirait le photographe (et beaucoup de ceux qui l’ont regardée). Doit-on faire des images, ou réaliser un exploit physique (déclencher pile au bon moment…). Prendre dix photos en rafale et choisir la bonne, est-ce tricher ? Pourquoi voit-on sur cette photo un masquage autour de l’arbre (photoshop permet d’éviter des masquages aussi grossiers) ? Est-ce une photo “honnête” si on ne respecte pas la lumière originale… etc…

  15. Blagapart, je voulais seulement dire que cette photo est représentative du style et de la philosophie de François Cardi, tout du moins, en matière de photo; je trouve ça très bien; il est donc inutile d’invoquer les possibilités de Photoshop à chacune de ses publications, sauf à ce qu’Adobe vous verse une petite obole à chaque fois que vous citez ses produits (ce que je vous souhaite bien sincèrement. C’est une blague bien sûr).

  16. Mr. HR : comme vous le voyez, j’essaye désespérément d’attirer l’attention d’Adobe, mais pour le moment, c’est choux blanc… Mon petit commentaire initial n’était que taquinerie. je sais bien que je ne convertirai pas François à PS. Mais je suis un peu énervé par l’incohérence qu’il y a à regretter que le moment décisif n’ait pas été atteint, mais à quand même publier une photo “ratée”. François demande de l'”indulgence”, un peu comme le jongleur qui rate un tour difficile. La photo n’est pas pour moi un exploit technique. Donc, pas d’indulgence !

  17. Le plus simple est d’attendre le cycliste suivant.Il roulera peut être plus loin du bord du quai et se découpera entièrement sur la chaussée.Poser ses lignes et attendre…
    Laisser croire à l’utilisation d’un logiciel,c’est plus drôle.
    Personne, ici, ne travaille à la commande!?

  18. Ah qu’il est curieux ce débat! Alors disons que pour moi, le bon moment n’a rien à voir avec la rafale d’où on tirerait la “bonne” photo. Il n’y a pas de plus grand plaisir et de plus grande victoire sur l’ennui que ce moment qu’on a saisi non pas par un exploit physique mais par un choix mental ET physique. C’est là qu’est pour moi le plaisir de photographier, l’impression d’avoir dominé un court instant le hasard et tout ce qui peut emprisonner notre regard.
    Quant à photoshop, chacun sait – question de liberté – les limites des tripatouillages. Pour moi, plus elles sont étroites et mieux ça vaut! Mais tout est question d’appréciation de sa propre liberté. Pour moi, elle est dans les règles, que l’on dépasse ou que l’on déborde, que l’on met en question en tout cas. Et les règles sont la lumière et le temps: en jouer autant que l’on peut, tout en conservant ce qui fait d’eux les éléments essentiels de la photo. Mais je comprends bien que ce petit discours n’épuise pas le sujet, heureusement!
    Merci encore de vos commentaires.

  19. Rage! Domination! Exploit!
    Cool, man! La scène se mettra en place toute seule.
    Patience: un cycliste sur les quais ne tient pas du hasard mais de la certitude.’Faut le choper’ plutôt que le P…. 😉

  20. Oui, mais aussi plaisir, liberté. Mais pour l’exploit, ce n’est pas mon truc. Je n’ai aucun goût pour ça!

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