Louise Marquise

Louise Markise se déguise, et de fils en aiguilles, tisse une toile mêlée d’autoportraits et de poésie volée. Elle funambule entre le mot et l’image, entre la fantaisie et la nudité, les couleurs et les silences. Jeune adulte ou grande enfant, elle vit depuis cinq ans à Berlin.
9 Commentaires
  1. J’aime le lieu et ce que tu en as fait!

  2. Comme une poupée vivante abandonnée dans un dépôt d’ordures, avec des lampions festifs, ornant une pièce délabrée.
    Un symbolisme très équivoque, dont seule l’auteur(e) doit avoir la clé.
    Belle image , au demeurant, bien traitée.

  3. Photo captivante à multiples facettes, éclats festifs, mémoires d’enfance comme fenêtres sombres ouvrant sur des gouffres, pertes de repères.

    Je pense, même si l’esthétique n’y est pas identique, au monde de Yan Saudek

  4. J’apprécie d’être invité à pénétrer votre monde onirique sans me sentir jamais trop voyeur. Vous avez cette capacité, à travers vos mises en scène, à la fois de mettre à distance et d’évoquer puissamment.
    C’est ce qui me fait goûter votre travail.

  5. Je la préfère en couleur et pense qu’elle pourrait être retravaillée dans sa version monochrome.

  6. D’ordinaire peu touché par ce type de composition – sans que je sache vraiment pourquoi, la vôtre me fait changer de point de vue… Merci !

  7. Merci à vous tous !

    Bernard, je ne connaissais pas le travail de Jan Saudek, et j’avoue ne pas avoir pu réellement imaginer le lien que vous faites entre lui et ici… mais pourquoi pas 😉

    Tristan, c’est vrai que j’ai quelques autres versions NB, chacune ayant ses défauts… A voir…

    Cher JeF, il est toujours plus agréable de surprendre un oeil qui se serait, d’habitude, détourné… Also, danke schön !

  8. Comme un rêve brisé, j’aime !

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