Louise Markise
se déguise,
et de fils en aiguilles,
tisse une toile mêlée
d’autoportraits
et de poésie volée.
Elle funambule entre
le mot et l’image,
entre la fantaisie et la nudité,
les couleurs et les silences.
Jeune adulte
ou grande enfant,
elle vit
depuis cinq ans à Berlin.
5 Commentaires
Antuan
sur 15 novembre 2012 à 20h36
j’aime beucoup la composition et les gris me plaisent.
Peut etre, mais c’est un avis perso , que sans la femme debout, l’image avec le titre donné aurait encore plus de sens .
Complétement d’accord avec Antuan, sur l’ensemble de son avis. Et puis le bout du pied trop près du bord de l’image, l’éclairage projette une ombre un peu trop forte sur le radiateur, et a un effet perturbant sur la douceur de l’épaule 😉
j’aime beucoup la composition et les gris me plaisent.
Peut etre, mais c’est un avis perso , que sans la femme debout, l’image avec le titre donné aurait encore plus de sens .
Complétement d’accord avec Antuan, sur l’ensemble de son avis. Et puis le bout du pied trop près du bord de l’image, l’éclairage projette une ombre un peu trop forte sur le radiateur, et a un effet perturbant sur la douceur de l’épaule 😉
La sensation est merveille, Le souffle court, la jeune femme retourne au fond et regarde fond de son passé
bravo Louise!
La sensation est merveille, Le souffle court, la jeune femme retourne au fond et regarde le fond de son passé
bravo Louise!
Une photo pleine de mélancolie !
@+