que c’est beau… M. Morel, euh… il me semble que tu as pris une longueur d’avance sur … Terry, il va nous falloir jouer la subtilité 😉
c’est de la triche 🙂
mais que c’est beau…
Tu vois philippe, je pensais qu’un oeil impliqué,trop impliqué, ne voyait plus …ou était moins sensible… ta photo montre le contraire!
Bon ben… à plus alors 😉
Quelque chose de l’ordre de la belle et la bête.
En cadrant au bord de la statue que je ne nommerais pas une tombe… cette atmosphère de conte s’en relèverait…
Et puis…
philippe morel
sur 3 mai 2008 Ã 10h28
Oui, la Belle et la bête, ou ce film trés onirique qui m’a beaucoup marqué adolescent:” Marianne de ma jeunesse”
que c’est beau… M. Morel, euh… il me semble que tu as pris une longueur d’avance sur … Terry, il va nous falloir jouer la subtilité 😉
c’est de la triche 🙂
mais que c’est beau…
Tu vois philippe, je pensais qu’un oeil impliqué,trop impliqué, ne voyait plus …ou était moins sensible… ta photo montre le contraire!
Bon ben… à plus alors 😉
le photographe interprète le sculpteur : la combinaison décoiffe.
je trouve aussi 😉
Bravo Philippe ! Vraiment!
Mais n’empêche que t’es mauvais joueur 😉 … tu ne nous attends pas 😉 … On avait dit à 3 🙂
image tres onirique.. un conte..
Quelque chose de l’ordre de la belle et la bête.
En cadrant au bord de la statue que je ne nommerais pas une tombe… cette atmosphère de conte s’en relèverait…
Et puis…
Oui, la Belle et la bête, ou ce film trés onirique qui m’a beaucoup marqué adolescent:” Marianne de ma jeunesse”
Très belle atmosphère, la référence à Cocteau est évidente, bravo !
Je ne connaissais pas non plus celle-ci.
J’aime vraiment beaucoup ce corps abandonné que la nature s’accapare délicatement, presque sensuellement.
La densification un peu exagérée dans le ciel/arbres me plaît moins car, pour moi, au lieu de concentrer le regard vers le sujet il attire le regard vers le haut. J’aurais peut-être densifié les fougères et autres herbes (sans toucher au corps bien sûr) 😉
Très onirique et très beau 🙂
Le paysage portait à lui seul le côté onirique, avec ses ombres et ses transparences. D’où vient que l’irruption du corps me paraît le contredire? Ce mannequin me paraît trop démonstratif.
Mais je chipote peut-être!