Nikon F, 1995, Ilford HP5; oui, elle a les pieds coupés, et c’est un peu dommage…




philippe morel

Sculpteur de métier, mais passionné de photo depuis toujours... Mes premieres photos ont été faites vers 6 ans avec un "brownie flash" de chez kodak, offert par mon père. J'avais eu auparavant une "boite" de chez lumière, je crois, mais je l'avais démontée sans espoir de la voir fonctionner un jour... La sculpture est venue beaucoup plus tard.
6 Commentaires
  1. Elle était bien aussi quand elle était pas cassée 😉

    Beau jeu de miroir servi par une belle lumière. Pas sûr que les pieds apporteraient quelque chose.

  2. les pieds ne sont pas vus non plus dans le miroir..moi non plus ça ne me gêne pas.. ce que j’aime, en dehors de la plastique de ce beau modèle, c’est la lumiere rasante sur le miroir qui trouble son reflet

  3. Moi ce qui me plais le mieux ce sont les deux visages au sol les yeux clos joue contre joue.Suite a une étreinte charnelle.
    Et en plus faite avec un Nikon F , un appareil qui me faisait rêver a une certaine époque.

  4. J’aime beaucoup Itou, les pieds, bof… je regrette juste que le modèle ne soit pas un peu plus éclairé ( je veux dire, une zone 6 ou 7 plutôt que 5 – si je suis clair moi même 😉 )
    Mais bon, très chouette photo de toutes façons

  5. En fait, les pieds coupés ne me gênent pas non plus….Mais comme je m’attendais à cette critique j’avais pris les devants…

  6. Celle-ci je ne l’avais jamais vue et elle me plaît énormément.
    Elle me transporte au sein de cet atelier de sculpteur, accumulation garantie de bois, de terre, de plâtre, de poussière, un monde garanti plein de vécu, plein d’ébauches, plein de ratés, de brisures, un monde créatif, effervescent, en gestation.

    Ici, la plastique du modèle oui bien sûr, l’immédiat, mais surtout ensuite le reflet voilé dans ce miroir poussiéreux, l’accès limité, l’accès qui demande de l’attention, de la patience à ce que l’on nous laissait deviner.
    Ce qui surprend aussi, séduit et me transporte dans le temps, dans les années 30, le cadre surmonté de cette tenture bouchonnée, la femme aux formes un peu rondes et sa pose lascive.

    Les pieds, non, pas essentiels, le mollet peut-être oui un petit manque… et un format carré 😉

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