Intrigant et captivant. Un sentiment quasi tactile aussi devant la trame de l’image. Les valeurs de la chevelure comme tirée sur un papier charbonneux.
Photographiquement c’est comme toujours très affirmé et à mon goût absolument irréprochable. Il y a cette ligne aquatique que tu poursuis depuis un moment et cette image pourrait être le pivot de la série. Enfin cette accumulation ordonnée (de queue de crustacés ?) brillante et humide qui scinde l’image en deux parties et opère la transformation. Tu auras compris, j’aime beaucoup…
Alien ! Attention Irène ! Quel spectacle ! Les cheveux cachaient donc bien Quelque Chose ! Nous ne savons pas encore tout !
Le malaise que génère l’image montre la qualité du travail : impressionnant !
Photo très impressionnante !
je ne suis pas tout à fait convaincu par le montage. Dans l’option choisie, la nuque de vraie peau me pose un peu problème. L’effet des crevettes (?) d’autre part rend le corps plan (façon papier peint…) et peut-être qu’une fusion avec le corps (façon tatouage) unirait un peu plus la photo (mais peut-être y perdrait-elle son mystère).
C’est quand même un grand souffle d’imagination, qui chasse la pesanteur du mois d’août.
PS:quelle nuque élégante ! ça me rappelle un tableau de Renoir.
Merci à vous trois! J’étais persuadée que personne “accrocherait” à cette image, ce fut donc avec plaisir que j’ai lu vos commentaires! C’était mon repas du jour, des queues de crevettes géantes!
Je suis assez de l’avis de blagapart, le montage est perfectible! Mais en même temps plus de fignolage aurait donné une autre image.
Cet autoportrait est le reflet de mon état d’esprit actuel… 😉
oh si des personnes accrochent, mais pas forcément avec un commentaire..
je suis déstabilisée cette photo je ne peux y déposer un commentaire tant je suis ailleurs …
je n’ai pas de mots je suis ailleurs …
Effet saisissant et déstabilisant !
Avec une si jolie nuque je n’apprécie pas cette métamorphose plutôt répugnante!
Je crois que l’effet recherché est atteint.
@+
La lumière et la chaleur toscanes me laissent peu de marge pour aller dans les détails…
😉
Henri
sur 20 août 2012 à 11h42
Étrange cette métamorphose , j’aurai pensé que tu te métamorphoserais en Koï à force de les côtoyer ;-). Là même ta superbe chevelure ne dissimulera plus ton secret.
Non, je ne connais pas bien le travail de Richter…Et puis, je n’aime pas les grandes messes!
Brigitte David
sur 22 août 2012 à 22h29
Il peint des nuques bien coiffées, avec juste un rayon de soleil qui éclaire une mèche. il fait des images lisses, lissées, où rien ne dépasse. Des mondes parfaits. Les égéries très douces de la bande à Baader, juvéniles, ravissantes…
tellement vivantes!
Evidemment on se demande ce qu’il cache.
Ma lecture du mois d’Août était bien imparfaite, ou réductrice.
J’avais avancé Vermeer, attiré par ce point de brillance dans l’oreille gauche faisant songer à une perle, et aussi l’ordonnancement du chignon.
C’était effectivement passer à côté de la partie inférieure, bien plus complexe.
Là, des dessins de Hans Bellmer me reviennent en mémoire. Pourquoi d’ailleurs toujours essayer de rapprocher une vision artistique d’une autre, qui lui serait préexistante ?
Août m’a fait être sensible à la partie de tête, décembre me renvoie cette carapace d’épaule !
😉
Intrigant et captivant. Un sentiment quasi tactile aussi devant la trame de l’image. Les valeurs de la chevelure comme tirée sur un papier charbonneux.
Photographiquement c’est comme toujours très affirmé et à mon goût absolument irréprochable. Il y a cette ligne aquatique que tu poursuis depuis un moment et cette image pourrait être le pivot de la série. Enfin cette accumulation ordonnée (de queue de crustacés ?) brillante et humide qui scinde l’image en deux parties et opère la transformation. Tu auras compris, j’aime beaucoup…
Alien ! Attention Irène ! Quel spectacle ! Les cheveux cachaient donc bien Quelque Chose ! Nous ne savons pas encore tout !
Le malaise que génère l’image montre la qualité du travail : impressionnant !
Photo très impressionnante !
je ne suis pas tout à fait convaincu par le montage. Dans l’option choisie, la nuque de vraie peau me pose un peu problème. L’effet des crevettes (?) d’autre part rend le corps plan (façon papier peint…) et peut-être qu’une fusion avec le corps (façon tatouage) unirait un peu plus la photo (mais peut-être y perdrait-elle son mystère).
C’est quand même un grand souffle d’imagination, qui chasse la pesanteur du mois d’août.
PS:quelle nuque élégante ! ça me rappelle un tableau de Renoir.
Merci à vous trois! J’étais persuadée que personne “accrocherait” à cette image, ce fut donc avec plaisir que j’ai lu vos commentaires! C’était mon repas du jour, des queues de crevettes géantes!
Je suis assez de l’avis de blagapart, le montage est perfectible! Mais en même temps plus de fignolage aurait donné une autre image.
Cet autoportrait est le reflet de mon état d’esprit actuel… 😉
oh si des personnes accrochent, mais pas forcément avec un commentaire..
je suis déstabilisée cette photo je ne peux y déposer un commentaire tant je suis ailleurs …
je n’ai pas de mots je suis ailleurs …
Merci Marie pour ces quelques mots, c’est bel et bien un commentaire!… 😉
Vermeer en peau de serpent ?
Effet saisissant et déstabilisant !
Avec une si jolie nuque je n’apprécie pas cette métamorphose plutôt répugnante!
Je crois que l’effet recherché est atteint.
@+
Alain-Michel, Vermeer, c’est très flatteur, mais … 🙂
Kora, merci 😉
La lumière et la chaleur toscanes me laissent peu de marge pour aller dans les détails…
😉
Étrange cette métamorphose , j’aurai pensé que tu te métamorphoserais en Koï à force de les côtoyer ;-). Là même ta superbe chevelure ne dissimulera plus ton secret.
Très étonnant, il y a un côté exo-squelette, façon crustacé type homard, on en mangerait !
Alain-Michel, là n’était pas la question (d’aller dans les détails) mais je ne trouve la comparaison pas vraiment en adéquation! 😉
Henri, attends, ça viendra peut-être un jour! 😉
Jean-Marc, les scampis étaient délicieux!… 😉
La métamorphose… Un matin…
Brigitte, évidemment, on pense à “La métamorphose”… 😉
@ Irène… à la Métamorphose… et à Richter et à ses nuques lisses. C’est une réponse à Richter?
Non, je ne connais pas bien le travail de Richter…Et puis, je n’aime pas les grandes messes!
Il peint des nuques bien coiffées, avec juste un rayon de soleil qui éclaire une mèche. il fait des images lisses, lissées, où rien ne dépasse. Des mondes parfaits. Les égéries très douces de la bande à Baader, juvéniles, ravissantes…
tellement vivantes!
Evidemment on se demande ce qu’il cache.
Une intensité exceptionnelle.
Ma lecture du mois d’Août était bien imparfaite, ou réductrice.
J’avais avancé Vermeer, attiré par ce point de brillance dans l’oreille gauche faisant songer à une perle, et aussi l’ordonnancement du chignon.
C’était effectivement passer à côté de la partie inférieure, bien plus complexe.
Là, des dessins de Hans Bellmer me reviennent en mémoire. Pourquoi d’ailleurs toujours essayer de rapprocher une vision artistique d’une autre, qui lui serait préexistante ?
Août m’a fait être sensible à la partie de tête, décembre me renvoie cette carapace d’épaule !
😉
Merci Eric!
Alain-michel, merci pour cette suite à ta lecture “vermeerienne”…
Là, je comprends mieux! 😉