Estienne sur 2 juillet 2012 à 22h07 Les marchés de ces pays entre Cancer et Capricorne se ressemblent tous même s’ils sont tous différents. Les regards, la dignité, la nonchalance apparente, les marchandises, l’ombre des bâches, le soleil de plomb, et nous avec nos appareils-photo : je ne te reproche rien, Hervé, j’étais dans la même situation il y a six mois mais c’était au Sénégal… Le visage de la vieille marchande est terrible et terriblement beau. Il n’est pas forcément facile d’expliquer à une femme (même chez nous) que des rides peuvent être belles !
Kora sur 2 juillet 2012 à 22h19 Hervé cette scène n’est pas facile à photographier et la lumière est bien délicate à gérer ! La difficulté c’est de trouver le bon angle de vue et dans le cas présent un objectif grand angle aurait été plus adapté. @+
hervé sur 3 juillet 2012 à 8h08 Merci à vous deux, ici le sujet était cette femme au beau visage et à l’expression sereine, j’ai attendu que la jeune bonzesse vienne fermer l’image et ajoute sa propre expression. Au grand angle, on photographie le marché et ce n’était pas mon intention pour cette “scène de rue” au marché. Bien sûr, le visage n’a pas une grande surface dans l’image, mais il est dans la lumière !
eric boumard charrier sur 3 juillet 2012 Ã 8h17 bonjour, Cette ballade photographique lave l’esprit. Je me sens tellement en vacances… cordialement.
Bernard Lv sur 3 juillet 2012 à 8h50 Pas de grand angle ! Le visage est parfaitement mis en valeur et est “évident”. Je la trouve superbement composée
alain-michel boley sur 3 juillet 2012 à 10h16 Une composition qui me fait penser au jeu de forme du tangram. Mais ici, l’étroite et précise imbrication des visages et des matières parle de la condition humaine : tous lointains et tous liés !
Kora sur 3 juillet 2012 à 10h17 Quand je dis GA ce n’est pas forcement un 24mm. Pour ce type de scène j’aime bien utiliser un 35 mm en me rapprochant des gens. Cette suggestion n’enlève rien à l’ambiance qui est restituée même si la lumière est difficile à gérer. @+
hervé sur 4 juillet 2012 à 12h21 @Kora, sans doute faite au 40 mm 😉 @AMB et Etienne, chaque personnage semble vivre sa vie dans cet espace.
Estienne sur 4 juillet 2012 à 18h50 Chaque personnage est différent (comme dans un tangram cf: AMB) et ensemble, ils composent un tableau mouvant au gré de leurs humeurs et de leurs déplacements et c’est un des intérêts de ta photo.
Les marchés de ces pays entre Cancer et Capricorne se ressemblent tous même s’ils sont tous différents. Les regards, la dignité, la nonchalance apparente, les marchandises, l’ombre des bâches, le soleil de plomb, et nous avec nos appareils-photo : je ne te reproche rien, Hervé, j’étais dans la même situation il y a six mois mais c’était au Sénégal… Le visage de la vieille marchande est terrible et terriblement beau. Il n’est pas forcément facile d’expliquer à une femme (même chez nous) que des rides peuvent être belles !
Hervé cette scène n’est pas facile à photographier et la lumière est bien délicate à gérer !
La difficulté c’est de trouver le bon angle de vue et dans le cas présent un objectif grand angle aurait été plus adapté.
@+
Merci à vous deux, ici le sujet était cette femme au beau visage et à l’expression sereine, j’ai attendu que la jeune bonzesse vienne fermer l’image et ajoute sa propre expression.
Au grand angle, on photographie le marché et ce n’était pas mon intention pour cette “scène de rue” au marché.
Bien sûr, le visage n’a pas une grande surface dans l’image, mais il est dans la lumière !
bonjour,
Cette ballade photographique lave l’esprit. Je me sens tellement en vacances…
cordialement.
Pas de grand angle !
Le visage est parfaitement mis en valeur et est “évident”.
Je la trouve superbement composée
Une composition qui me fait penser au jeu de forme du tangram. Mais ici, l’étroite et précise imbrication des visages et des matières parle de la condition humaine : tous lointains et tous liés !
Quand je dis GA ce n’est pas forcement un 24mm.
Pour ce type de scène j’aime bien utiliser un 35 mm en me rapprochant des gens.
Cette suggestion n’enlève rien à l’ambiance qui est restituée même si la lumière est difficile à gérer.
@+
D’accord avec Alain-Michel : “imbrication” est le terme juste.
@Kora, sans doute faite au 40 mm 😉
@AMB et Etienne, chaque personnage semble vivre sa vie dans cet espace.
Chaque personnage est différent (comme dans un tangram cf: AMB) et ensemble, ils composent un tableau mouvant au gré de leurs humeurs et de leurs déplacements et c’est un des intérêts de ta photo.