Magnifiques les images sur votre blog… Comme celle ci du reste.
J’avais entre-aperçu une vue verticale de Stromboli qui n’y figure plus. Dommage. 😉
François Cardi
sur 6 juin 2012 Ã 19h02
Brigite David, c’est vous qui aviez l’oeil le plus juste sur la lumière si remarquable de cette photographie.
Disons que sans le point blanc (la Fiat) le jeu de mot du titre aurait eu besoin d’un autre appui… Mais l’image n’en manque pas !
Est-ce bien prudent d’annoncer la sortie de Stromboli ?
😉
L’obscure lumière qui nous venait d’une île ?
Très dense !
😉
Contraste subtil ! Belle composition, belle lumière, belle voiture.
Lumière et composition sublime.
@+
J’ai mis du temps à voir la voiture! Sinon, j’aime beaucoup les ombres sur le mur blanc. Elle est pas mal en couleurs aussi.
L’impression d’avoir une maison en sucre ou d’un bonbon gomme. Drôle
Rien à redire sur la qualité de la photo, mais ça fait quand même très maison de vacances à louer avec deux entrées, celle avec les canisses étant pour les domestiques! 😉
Je suis comme Ben, j’ai eu un peu de mal à voir la voiture, le regard étant attiré sur la maison-guimauve (comme Bernard Lv) et les canisses à droite. Mais un tirage magnifique avec une belle gamme de gris !
Quel beau tirage en effet, F
Un sure presque translucide… J’aime bien.
Etrange lumière, étrange ambiance, histoire d’un petit matin, mais sans guimauve en noir et blanc.
@François Cardi. L’étrangeté oui. Pour moi ce n’est pas le matin. 5 heures de l’après-midi ?…
@Brigitte David. Le titre m’a fait penser plutôt aux moments où la lumière surgit, et la luminosité, vive, au début de la journée.
@FC. Evidemment le titre. Ce n’est pas mon ressenti…Mais vous avez sans doute raison!
La suivante sur le lien est extraordinaire aussi…
Sans le point blanc (la voiture) l’image n’aurait pas d’équilibre, ni d’intérêt à mon avis. Le titre ne décrit que la voiture au soleil.
Et derrière la palissade, point de maison, mais un espace pour ranger la Fiat 500 quand elle ne sert plus à faire une photo 😉
Les données zexif: f8, 1/500e, 35 mm, 200iso et 17 h 45, 2 h 15 avant le coucher de soleil, je vous trouve gonflé de parier sur l’heure de prise de vue.
Désolé, ici, les voitures et les maisons ont des formes arrondies.
Merci à tous de vos commentaires.
Magnifiques les images sur votre blog… Comme celle ci du reste.
J’avais entre-aperçu une vue verticale de Stromboli qui n’y figure plus. Dommage. 😉
Brigite David, c’est vous qui aviez l’oeil le plus juste sur la lumière si remarquable de cette photographie.
ps: après avoir vu la version couleur, j’ai une nette préférence pour le N&B…
Le Stromboli est à venir et j’ai enlevé le fil électrique sur la version n&b.
L’île de Salina est peu touristique, le village de Pollara, à l’ouest, a servi de cadre au tournage du film “Le facteur” de Michael Radford.
Disons que sans le point blanc (la Fiat) le jeu de mot du titre aurait eu besoin d’un autre appui… Mais l’image n’en manque pas !
Est-ce bien prudent d’annoncer la sortie de Stromboli ?
😉
Pour le Stromboli, aucune crainte, une éruption toutes les 20 minutes 😉
Superbes équilibres dans les lumières et la composition
Épurée et cadrée au cordeau avec en prime un tirage tout en nuances, du Hervé quoi 😉
Ce qui me touche dans cette image c’est ce bandeau de bitume incertain qui zigzague au milieu de cet équlibre.
Merci à vous, ah oui ! Ce bitume comme une coulée de lave pour signifier l’impermanence, la splendide incertitude.
Cette lave au sol me renvoyait plutôt aux dessins que trace la crim sur le sol à l’emplacement des cadavres. Sauf qu’ici la silhouette est celle d’un géant…